233/1.2 232/1.2.3 231 229 215/1 188/3 177/3 159/1 90/1.2 22/3
18/2 11/2 7/1 5/3 1/1 2 /2
Langue et institution 1
279/4 269/2 268/1 267/1,2,3 238/1 237/ 1,4 236/3 235/2
1 pied = 12 pouces. phrase d'expérience? Ensemble de règles et d'expérience.
Z 7/3 8/1.2 9/1.2.3 10/1.2 11/1.2 13/1.2
Toute personne qui a des maths . La phrase sait ne devrait rien savoir pour le moment.
Ligne 11/3
Comment la simple transformation de l'expression peut-elle avoir une quelconque importance pratique.
12/1.2 14/1.2.3.4 15/1.2.3 16/1.2
Calcul et prédiction
17/1 18/1,3 24/1 25/2 26/– 27/– 28/1,2 29/1,3,4
Remarques sur les règles
Ligne 23/1
Notes de philosophie :
Z. 28/3.4 30/2
Suivre une règle peut être une opération ponctuelle.
Ligne 44/1
Comment entre-t-il dans ces processus : je l'ai poignardé, j'ai tué
|| l'ai empoisonné , je lui ai parlé, je l'ai imaginé, je l'ai attendu, j'ai peur || l' honorer .
Comme tous ceux que je connais, je trouve tellement plus facile de
ne pas penser que de penser. ¤
2
Il est souvent difficile de distinguer quelles sont les limites de
l'expérience et quelles sont les limites de la perspective.
Je pourrais ressembler || aussi agir dans le cadre d'une occupation de manière à ce qu'on dise de
moi || J'aurais pu penser sans mots "si deux tailles sont égales à un tiers, elles sont égales entre
elles". Mais ce qui se passe n'est pas quelque chose qui || ce
3.
Mots accompagnés lorsqu'ils ne se prononcent pas comme des
perroquets.
Mais comme "pas de processus physique" ? Il y a donc des processus incorporels et la pensée n'en
fait-elle pas partie ? Non; je n'ai utilisé le mot « processus incorporel » que dans mon embarras,
parce que je voulais donner au mot « penser » son sens d'une manière primitive. Bien sûr, on
pourrait dire que la pensée est || être un processus incorporel si l'on comprend la grammaire du
mot " penser " , par exemple
4.
de celui du mot « manger ». Mais l'erreur ici est que la différence
de sens apparaît alors beaucoup trop faible. De même c'est || comme quand on dit : les chiffres sont
des objets réels, les nombres ne sont pas des objets réels. Une mauvaise façon de parler est la
meilleure || moyen le plus sûr de rester coincé dans un pétrin || pour rester coincé .
Il bloque la sortie de celui-ci, pour ainsi dire.
5.
Mais n'est-ce pas || notre avis qui donne un sens à la phrase ? (Et bien sûr, cela inclut : on ne
peut pas parler de chaînes de mots sans signification.) Et la signification est quelque chose dans le
domaine de l'âme. || dans le domaine mental. Mais c'est aussi quelque
chose de privé ! C'est quelque chose d'intangible ; comparable
seulement à la conscience elle-même.
Comment pourriez-vous ridiculiser cela; c'est comme un rêve de notre langue. L'objet immatériel. ||
L'immatériel comme objet . || L'incompréhensible comme objet . || On pourrait appeler cela un rêve
de notre langage : l' incompréhensible comme objet. || Comment pourriez-vous ridiculiser cela;
c'est comme un rêve de notre langue ; elle a ça
6.
incompréhensible pour l'objet.
Je pourrais imaginer que quelqu'un a dit || speak : En fait, tout le
monde ne fait que parler à || pour vous-même. Parce que lui seul sait ce qu'il veut dire. – Mais
alors il aurait dû dire || Aurait-il dû dire || Mais alors ça aurait dû être : « En fait, tout le
monde ne parle qu'à moi » || pour moi . Parce que moi seul sais ce que signifient les mots ||
comment je comprends les mots . » Mais pourquoi devrais-je m'intéresser à une telle apparition ?
7.
Imaginez si au lieu d'une pierre vous étiez transformé en gramophone .
Mais si la phrase m'appartient || donne le sens, - donc il faut bien
sûr lui donner ce || donner une signification particulière , une parmi plusieurs possibles.
Le sens est || voici la vie du pack; sans lui, il serait mort, un simple cadavre.
Mais ici, je fais une erreur étrange. Je parle des morts comme de ça, que quelque chose
8e.
manquant . Je vois absolument la vie comme quelque chose qui s'ajoute aux morts. || Je vois
définitivement la vie comme un rappel.
Si je veux dire la phrase, alors je dois lui donner un sens spécifique, pas seulement un sens. Et le
sens spécifique de la phrase doit être lié à son utilisation. c'est à dire si je
9.
Si je veux dire la phrase, je ne fais pas qu'y insuffler de l'âme, je ne fais pas que lui donner vie,
je lui donne une vie bien précise.
La phrase n'a-t-elle pas de sens parce que j'ai une conscience et
que je le pense ? (Et bien sûr, je ne peux pas dire une combinaison de mots insensée.) Et ce sens
est bien sûr quelque chose de l'âme
. Et c'est quelque chose de privé. C'est l'objet immatériel.
dix
Que se passe-t-il si je veux dire une phrase. Par exemple, je dis « Je ne me sens pas très bien »
et je le pense. Cette opinion devrait en fait créer le lien entre les simples mots et le fait. Mais
ça ne peut pas être comme ça; car ne pourrais-je pas dire la phrase même si c'était un mensonge ?
Par exemple, si je veux dire lui, je ferai un visage qui correspond au sens. Mais nous pouvons
supposer que c'est vrai et alors cela apparaît
11.
Signifie comme une flèche ou comme des flèches pointant vers quelque chose de la phrase. Quel est ce
phénomène étrange (presque comme une fièvre || comme un fantasme de fièvre ) ?
Eh bien, ce n'est pas incompréhensible : le pointage joue un grand rôle || dans l'explication de
toute expression rôle important .
Nous disons que nous voulons dire une phrase, par opposition à quand nous disons || par exemple,
récitez-le comme un simple exercice de langage. Alors je dis, par exemple, "je ne me sens pas bien"
comme traduction
12.
une phrase française en allemand ; & une autre fois comme
message vrai ou faux sur ma condition. Que se passe-t-il dans les deux derniers cas qui les distingue
du premier ? – L'environnement de la phrase est différent. Mais ce n'est pas si seul. Parce que je
pourrais dire au milieu d'un exercice de langue que je ne me sens pas encore bien & dans des
circonstances telles que le
13.
André ne sait pas si je veux traduire ou lui faire savoir . Alors que j'ai définitivement l'intention
de || avoir l'intention .
Eh bien, si le || cette phrase entendue comme une communication est toujours la même avant ? Et
comment accompagne-t-il la phrase ? Est-ce que cela l'enveloppe comme un nuage, ou est-ce que je
veux dire chaque mot spécifiquement. Je suis enclin à la première opinion et qu'il y a un certain
sentiment qui rend la phrase riche en contenu, pour ainsi dire.
essayez-le
14
avec la phrase "Il est cinq heures".
Il y a certainement une différence non seulement dans l'environnement dans lequel la phrase
est prononcée, mais aussi dans diverses circonstances qui l'accompagnent. Mais ce n'est pas un
processus mental que nous appelons « signifier la phrase » comparable à celui de la douleur. Ainsi,
le mot « signifier » n'est pas utilisé.
15
Je m'attends à une explosion à tout moment. Je suis incapable de tourner mon attention vers autre
chose; regarde mon journal mais sans lire. Si quelqu'un me demande pourquoi je semble si excité et
nerveux, je réponds que je m'attends à l'explosion à tout moment.
Comment c'était maintenant : décrit || cette phrase décrit-elle ce comportement ? Mais comment
l'attente diffère-t-elle?
16
l'explosion de celle d'un événement entièrement différent. Par exemple de l'attente d'un certain
signal (3 coups de trompette) ? Ou la ligne de conduite n'était-elle pas celle attendue || l'attente
mais seulement les sous-produits de l'attente ; alors que cela lui- même était un processus mental?
Mais alors comment celui dans lequel il procède sait-il l'attente de quel événement il est ? Car il
apparaît
17
pas dans le noir à ce sujet. Ce n'est pas comme s'il déclarait un état d'esprit || état mental ou
autre et ferait une supposition sur la cause de son s || cet état.
Il peut bien dire : « Je ne sais pas, c'est juste cette attente qui me rend si nerveux aujourd'hui »,
mais il ne dira pas : « Je ne sais pas, est -ce que c'est || mon état d'esprit une attente d'une
explosion ou autre chose ».
L'énoncé "Je m'attends à un coup d'une minute à l'autre" est
18
une expression d'attente. Ce mot réaction est la déviation du pointeur indiquant la nature de
l'attente.
Et il en est de même avec l'expression du désir. Dire "je veux une
pomme" dit || ne veut pas dire "je pense qu'une pomme apaisera mon sentiment d' insatisfaction ". On
peut aussi utiliser cette phrase, mais ce n'est pas l'expression d'un souhait mais d'une
insatisfaction.
Nous sommes à travers un
19
certaine formation, éducation, donc conditionnée || posé que dans certaines circonstances nous
exprimons des désirs. (Bien sûr,
une telle « circonstance » n'est pas le souhait . ) La question de
savoir si je sais ce que je souhaite avant que mon souhait ne soit exaucé ne peut se poser dans ce
jeu. Et cet événement fait taire mon désir || ne signifie pas dans ce sens qu'il a exaucé le
souhait. Je peux dire, par exemple : je suis satisfait maintenant, mais je serais
20
mon désir a été satisfait, je || donc je ne serais pas satisfait.
Par contre, le mot « souhaiter » s'emploie ainsi : On dit « je ne sais pas moi-même ce que je
souhaite ». ( Goethe dit || Avec Goethe ça dit || Goethe a dit un jour : ("Parce que les souhaits
voilent ce que nous nous souhaitons". Hermann & Dorothea) || Hermann & Dorothea : "Parce que les
souhaits voilent ce que nous nous voulons". )
Vous ne pouvez pas deviner comment un mot fonctionne. Vous devez || voir ça || observer et en tirer
des leçons. La grande difficulté, cependant, est de supprimer le préjugé
21
qui fait obstacle à cet apprentissage . || opposé à cet apprentissage . (Et ce n'est pas un
préjugé idiot.)
Le fait que je parle de la phrase lui donne vie.
Mais je dois lui donner une vie très spécifique - pas seulement la vie. Un sens et pas un autre.
Si je veux dire lui, je dois le dire de cette façon . Les mots doivent chercher leur sens. || Mais
le regard vivant du mot sur son || des mots à leur sens repose sur (les) mouvements constants
22
dans le domaine d'application.
Comment est-ce que je pense à quelqu'un ? Comment pointer un
fusil sur lui ? Y a-t-il une ressemblance ici? Quelle est la relation de cete pensée || processus de
pensée , ces mots pour lui? J'utilise son nom. Mais cela peut être les noms d'autres personnes et
pourtant je ne pense qu'à un seul . Lorsqu'on me demande lequel voulez-vous dire, je vais vous
donner une réponse. La réponse détermine le nom d'une application. Elle peut aussi être le || rendre
ces pensées compréhensibles et les actions auxquelles elles conduisent. La photo est urgente
23
nous que le nom pointe vers cette personne (qui est séparée de moi dans l'espace et le temps) ||
indique . Et on dira peut-être que ça arrive || fait par le nom apportant l'image de l'homme devant
mon âme. Mais est-ce que cette photo est vraiment bonne ? Est-ce que je reconnais l'image mentale
comme sa ressemblance ? Et qu'est-ce que c'est censé vouloir dire ?
Qu'est-ce que je pense de lui ? Demandez-vous : « Qu'est-ce que je lui écris ? (Et bien sûr je
pourrais lui écrire sans ça
24
la lettre serait jamais envoyée.)
J'attends deux personnes A & B. Je dis : "Si seulement il venait !" quelqu'un me demande « De qui
voulez-vous parler ? » Je dis: "Je pensais au A". Et ces mots eux-mêmes ont fait un pont. Ou il
demande « De qui tu parles » & je réponds : « Je pensais à… », un poème qui contient cette phrase.
Les connexions || Connexions de ce que je dis , je fais au cours de mes pensées et
25
Actions. (Cette considération est liée à ce que W. James appelle « le courant de pensée » ¤ . L'erreur
dans James || sa présentation est qu'a priori & a posteriori grammatical & empirique sont mélangés ||
ne sont || pas différenciés . Donc il parle de la continuité du courant de pensée et le compare à
celui de l'espace
, pas à celui d'un jet d'eau, disons.)
‒ ‒ ‒ Alors, comment puis-je savoir, si je veux dire le message, que
je le pense ? Demandé si || comme moi || la phrase signifiait que je le dirai. Et bien sûr
26
pas à l'observation d'un sentiment particulier.
Je pense que le sentiment serait que je m'adresse à l'autre lorsque je communique, ce que je ne fais
pas lorsque je pratique la langue.
Et maintenant supposons que j'aie un tel sentiment ; tel qu'il existe naturellement, car lorsque je
m'adresse à lui, j'agis différemment :
me tourner vers lui, le regarder, parler sur un autre ton de voix, etc.
Mais ce sentiment ne peut-il pas me tromper si mes propos le trompent ?
27
peut? Est-ce que je reconnais vraiment que je voulais m'adresser à lui ? N'est-ce pas que je vais
dans une certaine direction en disant maintenant que je voulais m'adresser à lui ?
Je (Ƒ) peux, par exemple, me souvenir d'un petit mouvement de la tête ; mais bien sûr cela ne prouve
pas en soi que j'ai voulu me tourner vers l'autre. Mais j'interprète || prenez maintenant ce
mouvement de tête de cette manière ; pour moi c'est une expression de cette tendance.
Par exemple , on dit « Je me souviens
28
exactement que j'allais lui parler, je me souviens avoir tourné la
tête vers lui. ' Mais ce ne serait pas concluant. Mais maintenant, je le vois comme le début d'une
certaine intrigue .
« Mais comment puis-je savoir que la mienne n'est pas une
sensation accompagnant la phrase ?
Je veux dire : avec ma réponse, je continue le mouvement que j'ai commencé et prouve || faites-en
donc le début d'un mouvement d'une certaine chose
29
Personnage.
30
plan
Comment la règle peut-elle déterminer ce que je dois faire ?
Suivre une règle nécessite un accord.
Il est essentiel au phénomène du langage que nous ne discutions pas de certaines choses.
Comment l'accord peut-il être une condition du langage ? Là où nous pouvons penser à un accord ,
nous pouvons penser à un non- accord .
31
Pensez donc qu'un désaccord éclate sur les couleurs de la plupart
des choses.
Alors, comment saurions-nous ce que nous entendons par les mots de couleur ?
Mais tout le monde ne le sait-il pas ? Non.
De même dans le cas d'agir selon la règle. Manquer le match, c'est- à-dire
pourrions-nous avoir notre
32
Si les expressions ne s'accordent pas, alors le phénomène de la compréhension et du langage a pris
fin.
Quelle est l'inexorable des mathématiques.
Loin de ce qui n'est pas implacable à l'implacabilité. ABOVE a 4 sons
.
est un math. Preuve d'une expérience.
33
Ce que je comprends d'une règle est comme un signe. Comment
un signe peut-il nous montrer ce que je dois faire ? Tout ce que j'ajoute au signe en tant
qu'interprétation se confond avec le signe. Donc une interprétation n'aide pas en principe. À la fin,
les interprétations et les explications sont à des fins pratiques uniquement.
34
Pourquoi? Pourquoi? - Je le fais!
Voyez-vous la régularité dans ces lignes? Vous voyez ceux que je mets comme ça ? Alors continuez
comme ça ! (C'est ce qu'un peintre en papier peint pourrait dire à son assistant.)
L'assistant montre à un autre comment il suit la règle ici, pourquoi il le fait de cette façon .
Il ne pouvait pas y avoir de querelle entre lui et le
35
sortir maître? Bien sûr. Un tel différend peut être différent. Vous ne pouvez pas vous comprendre. Je
pourrais décrire ce qu'ils disent mot pour mot.
La grive parle-t-elle une langue ? Dois-je dire « Peut-être » ?
L'énorme difficulté peut être vue ici, où l'anneau s'est refermé. Où s'arrêter Explications
36
admettre.
Je ne peux pas décrire le langage autrement que la couture, la cuisine, l'exercice. Je ne peux pas
non plus décrire « suivre une règle » autrement.
« Comment une règle me guide-t-elle ? » - Que dois-je décrire ?
La première est la suivante : je pourrais donner un exemple. Il serait aussi concevable que je
décrive exactement comme un enfant
37
apprend d'abord à suivre les règles, décrit exactement ce que les enseignants et les élèves disent
et font.
⋎ Décrivez exactement ce que je pense, par exemple, ce que je fais lorsque j'agis selon une
certaine règle. Eh bien, une telle description pourrait avoir son but.
|| Un exemple pourrait me rappeler comment procéder dans un cas particulier ;
38
l'autre pourrait enseigner à quelqu'un comment procéder dans l'enseignement et l'apprentissage et
diverses choses qui en découlent. Le premier exemple pourrait l'expliquer à quelqu'un qui ne
comprend pas le mot allemand "règle" s'il comprend les mots restants de l'exemple.
Mais rien de tout cela n'était le but de la question. Il serait plus
proche de cete fin de dire que je suis responsable de mes actes si je
39
suivre la règle peut donner des raisons, mais que les raisons sont finalement laissées de côté & la
seule réponse à la question "comment savez-vous que vous devriez agir comme ça " ou "pourquoi
agissez-vous comme ça" est : j'agis comme ça sans un motif.
Mais si je ne peux pas justifier ce que je fais; Comme si
40
chacun de nous a fait quelque chose de différent et a dit qu'il suivait la règle ?
Comment suivre une règle ? Comment une règle me guide-t-elle ?
Comment puis-je savoir quoi faire à chaque niveau ?
Je suis la règle de la même manière que l'instruction "casser deux œufs dans une casserole". Et cette
phrase n'appartenait-elle pas à un || Je ne parle aucune langue, ou une langue que je ne comprends
pas, donc quoi que j'aie fait, je n'ai pas suivi ces mots.
41
Une personne ne peut pas entreprendre quelque chose qu'une seule fois , car ici on pourrait dire :
Comment sait-il ce qu'il a entrepris ?
42
... 2 de plus on ne saurait dire. Mais "avoir" et "quelque chose" sont à nouveau des mots de
langage courant. - Alors le philosophe finit parfois par vouloir juste prononcer un son inarticulé.
Et cela devrait
|| il doit le laisser rester.
Et pourquoi avons-nous la désignation || ici ? le caractère pour un
|| nommer une sensation? Peut-être la façon dont il est utilisé dans ce jeu de langage || est utilisé
. - Et
43
pourquoi 'une certaine sensation' toujours || c'est à dire toujours le même ? Seulement que j'utilise
le même personnage à chaque fois.
Bien sûr, cela ne nous aide pas... de dire "il fait référence à..." au lieu de "il dénote" . Mais
c'est psychologiquement le plus correct
|| expression plus appropriée pour une certaine expérience tout en philosophant.
Bien sûr, cela ne nous aide pas à comprendre la fonction du mot
44
« rouge » pour dire « il fait référence à » plutôt que « il dénote » le privé. Mais c'est
l'expression psychologiquement plus juste d'une certaine expérience de philosopher. C'est comme
jeter || Je lance en prononçant le mot || Ça vaut le coup d'œil sur ses propres sentiments, comme
pour se dire que je sais déjà ce que je veux dire par là.
Bl.B
taille B
240/2
245/1
246/2
284/2
19/1
242/1 Congeler dans une pierre
3
45
« Un homme y croit quand il n'entend que des mots … » C'est- à-dire || : on ne peut pas s'habituer
au jeu naturel qu'une phrase ne devrait avoir aucune utilité ◇◇◇. || avoir dû. || ne
doit pas intervenir dans la vie. || : homme
19 avr. 2023
Ms-165 Normalized version/automatic vf
23 oct. 2022
(Frankenstein)
; , . . . , . . , . , — — . . ; , . ; , , , . ? , , . , . ; . , , ; , . — — , , — — ; , , . , . ? ; , . , . , , , , . , , , , ; , , , . , ; , — — . . . , ‘ . , . , , , ‘ . , , , . , ; . , . , . . , , . . – ; , , , ; , , , . – , . , , ; . , , ? ; . , ! ; , . , : , , . . ; , , , – . , , — — ; , . – . . ; , , – . ; ? , , ? , , , , . , , . , , . , , . , . . . . , . , , — — . , ! . , ; , , . ; . , : , ; , . , ; . ; . , , . , , , , . ! , . – : , ‘ . ; , . – , . , ; ( ) ; , . , ; , , . , , . , , ; : , , . , , , . : , . , . , , . , , , : ; , , . , . , , . , , ; – , . ; , , , , , , . , , . , ; , – , ‘ . , ; , , , . ” ! ” . ; : , , , , . , , , . ; . ; , ; . : , . . , , . , ” ” ; , , ” ” ? ; . , , , . , . — — – ; — — : — — , , , , , . . , , ? , . : . . , . , . . . , . , , — — . , , . ; , , , . , , : , ; , , . ; , , , , . . , , ; . , . , , , . , , . . ? , : . ? ? . . ! . . . . , . , — — . , , . ( ) , , , – . , . , . ‘ , , , , . , , , . , , , : , , , . , . . , , ; , , . , , , , . , ; , . , , , . . , , , , , . , , , , , . ; , . , , , . , , ” , . ” , , . ” , ” , ” ? ” , . , , . , . ! , , . , . . ; , . , , . , . , , . ; . , , . : , ; , , , , , . ; , . , , ; , . , , , ? ; , ” . ” ” ? ” ” . ” ” ; , , , . ” ‘ ; , , . , , , — — ” , , , ; . ” ” ; . ” ” ; . ” ? , ; , ; . . , ; , . , . . , , . , , . , ; . , . , , ; , , . , . , — — . . . , ? , ; ; , , . , , . , , , . , . , . , ; ; , , , , , . ‘ ; . , ‘ . ; ; , , — — . ; — — , : — — ” ! ? ? , — — , ! ” , , ; , . , ; , . . : . — — ; , . ” , ” ; ” , , , , — — — — . , , , , . , , . — — , . ” , , . , . , . , , , . : , ; , , , , . ? , . , , , ; . , . ; – ; , ; , – . . — — . , ” , , . , , ; . , ; , . ; , , , ; , . . , , ; , – : — — . ” ; . , , , . . ” , ” , ” , ; . , . , ” , ; ” , , ; : , . ” , . . , , , , . , . : , , , ! , , – ; ; , . ; , — — ! . ; . ; . , . ; , . , . , , , , , . , , , . , , , , . , . . , . ; . , , , . , . ; , ‘ . , , ; , ; , , . ; , . ; . ; ; . . ; ; ; , . ; ‘ , , . , ; , , . . , . ‘ , . – , . , , , , , , . . , , , . , , . ; , , . . , , , . . , . ‘ , ‘ , . , — — , , , , . , , , , – , , . . , . , , . . , , ; , , — — , , — — . , , – , . , , , , . , , , . . . – , ; , . , , , . , , , , – , . , , . , . , . : . , . , — — , . . , , . , . , , – . , , — — , . . . . ; , . , , ‘ — — — — . . , , . , , — — ” — — – . ” , , , , , , — — , , . , . . , — — , . . ; . . , . ; , , , . ; — — ; ; ; , , — — . , . . , , , , . , , , . , , , . , . , . , , ; . . . , , , . . , . , , , , . . . , . , , . , ; , , , . , , , . ; , , , , , . , , . , , , ; , . – . ; , , , . : , , . — — ? 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8 août 2022
"George Eliot" by Virginia Woolf
George Eliot was the pseudonym of novelist, translator, and religious writer Mary Ann Evans (1819-1880). This article by Virginia Woolf was first published in The Times Literary Supplement, 20th November, 1919.
To read George Eliot attentively is to become aware how little one knows about her. It is also to become aware of the credulity, not very creditable to one's insight, with which, half consciously and partly maliciously, one had accepted the late Victorian version of a deluded woman who held phantom sway over subjects even more deluded than herself. At what moment and by what means her spell was broken it is difficult to ascertain. Some people attribute it to the publication of her Life. Perhaps George Meredith, with his phrase about the 'mercurial little showman' and the 'errant woman' on the dais, gave point and poison to the arrows of thousands incapable of aiming them so accurately, but delighted to let fly. She became one of the butts for youth to laugh at, the convenient symbol of a group of serious people who were all guilty of the same idolatry and could be dismissed with the same scorn. Lord Acton had said that she was greater than Dante; Herbert Spencer exempted he novels, as if they were not novels, when he banned all fiction from the London library. She was the pride and paragon of all her sex. Moreover, her private record was not more alluring than her public. Asked to describe an afternoon at the Priory, the story-teller always intimated that the memory of those serious Sunday afternoons had come to tickle his sense of humour. He had been so much alarmed by the grave lady in her low chair; her had been so anxious to say the intelligent thing. Certainly, the talk had been very serious, as a note in the fine clear hand of the novelist bore witness. It was dated on the Monday morning, and she accused herself of having spoken with due forethought of Marivaux when she meant another; but not doubt, she said, her listener had already supplied the correction. Still, the memory of talking about Marivaux to George Eliot on a Sunday afternoon was not a romantic memory. It had faded with the passage of years. It had not become picturesque.
Indeed, one cannot escape the conviction that the long, heavy face with its expression of serious and sullen and almost equine power has stamped itself depressingly upon the minds of people who remember George Eliot, so that it looks out upon them from her pages. Mr Gosse has lately described her as he saw her driving through London in a victoria:
a large, thick-set sybil, dreamy and immobile, whose massive features, somewhat grim when seen in profile, were incongruously bordered by a hat, always in the height of Paris fashion, which in those days commonly included an immense ostrich feather.
Lady Ritchie, with equal skill, has left a more intimate indoor portrait:
She sat by the fire in a beautiful black satin gown, with a green shaded lamp on the table beside her, where I saw German books lying and pamphlets and ivory paper-cutters. She was very quiet and noble, with two steady little eyes and a sweet voice. As I looked I felt her to be a friend, not exactly a personal friend, but a good and benevolent impulse.
A scrap of her talk is preserved. 'We ought to respect our influence,' she said. 'We know by our own experience how very much others affect our lives, and we must remember that we in turn must have the same effect on others.' Jealously treasured, committed to memory, one can imagine recalling the scene, repeating the words, thirty years later, and suddenly, for the first time, bursting into laughter.
In all these records one feels that the recorder, even when he was in the actual presence, kept his distance and kept his head, and never read the novels in later years with the light of a vivid, or puzzling, or beautiful personality dazzling his eyes. In fiction, where so much of personality is revealed, the absence of charm is a great lack; and her critics, who have been, of course, mostly of the opposite sex, have resented, half consciously perhaps, her deficiency in a quality which is held to be supremely desirable in women. George Eliot was not charming; she was not strongly feminine; she had none of those eccentricities and inequalities of temper which give to so many artists the endearing simplicity of children. One feels that to most people, as to Lady Ritchie, she was 'not exactly a personal friend, but a good and benevolent impulse'. But if we consider these portraits more closely, we find that they are all the portraits of an elderly celebrated woman, dressed in black satin, driving in her victoria, a woman who has been through her struggle and issued from it with a profound desire to be of use to others, but with no wish for intimacy, save with the little circle who had known her in the days of her youth. We know very little about the days of her youth; but we do know that the culture, the philosophy, the fame, and the influence were all built upon a very humble foundation - she was the granddaughter of a carpenter.
The first volume of her life is a singularly depressing record. In it we see her rising herself with groans and struggles from the intolerable boredom of petty provincial society (her father had risen in the world and become more middle class, but less picturesque) to be the assistant editor of a highly intellectual London review, and the esteemed companion of Herbert Spencer. The stages are painful as she reveals them in the sad soliloquy in which Mr Cross condemned her to tell the story of her life. Marked in early youth as one 'sure to get something up very soon in the way of a clothing club', she proceeded to raise funds for restoring a church by making a chart of ecclesiastical history; and that was followed by a loss of faith which so disturbed her father that he refused to live with her. Next came the struggle with the translation of Strauss, which, dismal and 'soul-stupefying' in itself, can scarcely have been made less so by the usual feminine tasks of ordering a household and nursing a dying father, and the distressing conviction, to one so dependent upon affection, that by becoming a bluestocking she was forfeiting her brother's respect. 'I used to go about like an owl', she said, 'to the great disgust of my brother'. 'Poor thing', wrote a friend who saw her toiling through Strauss with a statue of the risen Christ in front of her, 'I do pity her sometimes, with her pale sickly face and dreadful headaches, and anxiety, too, about her father.' Yet, though we cannot read the story without a strong desire that the stages of her pilgrimage might have been made, if not more easy, at least more beautiful, there is a dogged determination in her advance upon the citadel of culture which raises it above our pity. Her development was very slow and very awkward, but it had the irresistible impetus behind it of a deep-seated and noble ambition. Every obstacle at length was thrust from her path. She knew everyone. She read everything. Her astonishing intellectual vitality had triumphed. Youth was over, but youth had been full of suffering. Then, at the age of thirty-five, at the height of her powers, and in the fulness of her freedom, she made the which was of such profound moment to her and still matters even to us, and went to Weimar, alone with George Henry Lewes.
The books which followed so soon after her union testify in the fullest manner to the great liberation which had come to her with personal happiness. In themselves they provide us with a plentiful feast. Yet at the threshold of her literary career one may find in some of the circumstances of her life influences that turned her mind to the past, to the country village, to the quiet and beauty and simplicity of childish memories and away from herself and the present. We understand how it was that her first book was Scenes of Clerical Life and not Middlemarch. Her union with Lewes had surrounded her with affection, but in view of the circumstances and of the conventions it has also isolated her. 'I wish it to be understood', she wrote in 1857, 'that I should never invite anyone to come and see me who did not ask for the invitation.' She had been 'cut off from what is called the world', she said later, but she did not regret it. By becoming thus marked, first by circumstances and later, inevitably, by her fame, she lost the power to move on equal terms unnoted among her kind; and the loss for a novelist was serious. Still, basking in the light and sunshine of Scenes of Clerical Life, feeling the large mature mind spreading itself with a luxurious sense of freedom in the world of her 'remotest past', to speak of loss seems inappropriate. Everything to such a mind was gain. All experience filtered down through layer after layer of perception and reflection, enriching and nourishing. The utmost we can say, in qualifying her attitude towards fiction by what we know of her life, is that she had taken to heart certain lessons learnt early, if learnt at all, among which, perhaps, the most branded upon her was the melancholy virtue of tolerance; her sympathies are with the everyday lot, and play most happily in dwelling upon the homespun of ordinary joys and sorrows. She has none of that romantic intensity which is connected with a sense of one's own individuality, unsated and unsubdued, cutting its shape sharply upon the background of the world. What were the loves and sorrows of a snuffy old clergyman, dreaming over his whisky, to the fiery egotism of Jane Eyre? The beauty of those first books, Scenes of Clerical Life, Adam Bede, The Mill on the Floss, is very great. It is impossible to estimate the merit of the Poysers, the Dodsons, the Gilfils, the Bartons, and the rest with all their surroundings and dependencies, because they have put on flesh and blood and we move among them, now bored, now sympathetic, but always with that unquestioning acceptance of all that they say and do, which we accord to the great originals only. The flood of memory and humour which she pours so spontaneously into one figure, one scene after another, until the whole fabric of ancient rural England is revived, has so much in common with a natural process that it leaves us with little consciousness that there is anything to criticize. We accept; we feel the delicious warmth and release of spirit which the great creative writers alone procure for us. As one comes back to the books after years of absence they pour out, even against our expectation, the same store of energy and heat, so that we want more than anything to idle in the warmth as in the sun beating down from the red orchard wall. If there is an element of unthinking abandonment in thus submitting to the humours of Midland farmers and their wives, that, too, is right in the circumstances. We scarcely wish to analyse what we feel to be so large and deeply human. And when we consider how distant in time the world of Shepperton and Hayslope is, and how remote the minds of farmer and agricultural labourers from those of most of George Eliot's readers, we can only attribute the ease and pleasure with which we ramble from house to smithy, from cottage parlour to rectory garden, to the fact that George Eliot makes us share their lives, not in a spirit of condescension or of curiosity, but in a spirit of sympathy. She is no satirist. The movement of her mind was too slow and cumbersome to lend itself to comedy. But she gathers in her large grasp a great bunch of the main elements of human nature and groups them loosely together with a tolerant and wholesome understanding which, as one finds upon rereading, has not only kept her figures fresh and free, but has given them an unexpected hold upon our laughter and tears. There is the famous Mrs Poyser. It would have been easy to work her idiosyncrasies to death, and, as it is, perhaps, George Eliot gets her laugh in the same place a little too often. But memory, after the book is shut, brings out, as sometimes in real life, the details and subtleties which some more salient characteristic has prevented us from noticing at the time. We recollect that her health was not good. There were occasions upon which she said nothing at all. She was patience itself with sick child. She doted upon Totty. Thus one can muse and speculate about the greater number of George Eliot's characters and find, even in the least important, a roominess and margin where those qualities lurk which she has no call to bring from their obscurity.
But in the midst of all this tolerance and sympathy there are, even in the early books, moments of greater stress. Her humour has shown itself broad enough to cover a wide range of fools and failures, mothers and children, dogs and flourishing midland fields, farmers, sagacious or fuddled over their ale, horse-dealers, inn-keepers, curates, and carpenters. Over them all broods a certain romance, the only romance that George Eliot allowed herself- the romance of the past. The books are astonishingly readable and have no trace of pomposity or pretence. But to the reader who holds a large stretch of her early work in view it will become obvious that the mist of recollection gradually withdraws. It is not that her power diminishes, for, to our thinking, it is at its highest in the mature Middlemarch, the magnificent book which with all its imperfections is one of the few English novels written for grown-up people. But the world of fields and farms no longer contents her. In real life she had sought her fortunes elsewhere; and though to look back into the past was calming and consoling, there are, even in the early works, traces of that troubled spirit, that exacting and questioning and baffled presence who was George Eliot herself. In Adam Bede there is a hint of her in Dinah. She shows herself far more openly and completely in Maggie in The Mill on the Floss. She is Janet in Janet's Repentance, and Romola, and Dorothea seeking wisdom and finding one scarcely knows what in marriage with Ladislaw. Those who fall foul of George Eliot do so, we incline to think, on account of her heroines; and with good reason; for there is no doubt that they bring out the worst of her, lead her into difficult places, make her self-conscious, didactic, and occasionally vulgar. Yet if you could delete the whole sisterhood you would leave a much smaller and a much inferior world, albeit a world of greater artistic perfection and far superior jollity and comfort. In accounting for her failure, in so far as it was a failure, one recollects that she never wrote a story until she was thirty-seven, and that by the time she was thirty-seven she had come to think of herself with a mixture of pain and something like resentment. For long she preferred not to think of herself at all. Then, when the first flush of creative energy was exhausted and self-confidence had come to her, she wrote more and more from the personal standpoint, but she did so without the unhesitating abandonment of the young. Her self-consciousness is always marked when her heroines say what she herself would have said. She disguised them in every possible way. She granted them beauty and wealth into the bargain; she invented, more improbably, a taste for brandy. But the disconcerting and stimulating fact remained that she was compelled by the very power of her genius to step forth in person upon the quiet bucolic scene.
The noble and beautiful girl who insisted upon being born into the Mill on the Floss is the most obvious example of the ruin which a heroine can strew about her. Humour controls her and keeps her lovable so long as she is small and can be satisfied by eloping with the gipsies or hammering nails into her doll; but she develops; and before George Eliot knows what has happened she has a full-grown woman on her hands demanding what neither gipsies, nor dolls, nor St Ogg's itself is capable of giving her. First Philip Wakem is produced, and later Stephen Guest. The weakness of the one and the coarseness of the other have often been pointed out; but both, in their weakness and coarseness, illustrate not so much George Eliot's inability to draw the portrait of a man, as the uncertainty, the infirmity, and the fumbling which shook her hand when she had to conceive a fit mate for a heroine. She is in the first place driven beyond the home world she knew and loved, and forced to set foot in middle-class drawing-rooms where young men sing all the summer morning and young women sit embroidering smoking-caps for bazaars. She feels herself out of her element, as her clumsy satire of what she calls 'good society' proves.
Good society has its claret and its velvet carpets, its dinner engagements six weeks deep, its opera, and its faery ball rooms... gets its science done by Faraday and its religion by the superior clergy who are to be met in the best houses; how should it have need of belief and emphasis?
There is no trace of humour or insight there, but only the vindictiveness of a grudge which we feel to be personal it its origin. But terrible as the complexity of our social system is in its demands upon the sympathy and discernment of a novelist straying across the boundaries, Maggie Tulliver did worse than drag George Eliot from her natural surroundings. She insisted upon the introduction of the great emotional scene. She must love; she must despair; she must be drowned clasping her brother in her arms. The more one examines the great emotional scenes the more nervously one anticipates the brewing and gathering and thickening of the cloud which will burst upon our heads at the moment of crisis in a shower of disillusionment and verbosity. It is partly that her hold upon dialogue, when it is not dialect, is slack; and partly that she seems to shrink with an elderly dread of fatigue from the effort of emotional concentration. She allows her heroines to talk too much. She has little verbal felicity. She lacks the unerring taste which chooses one sentence and compresses the heart of the scene within that. 'Whom are you doing to dance with?' asked Mr Knightley, at the Weston's ball. 'With you, if you will ask me,' said Emma; and she has said enough. Mrs Casaubon would have talked for an hour and we should have looked out of the window.
Yet, dismiss the heroines without sympathy, confine George Eliot to the agricultural world of her 'remotest past', and you not only diminish her greatness but lose her true flavour. That greatness is here we can have no doubt. The width of the prospect, the large strong outlines of the principal features, the ruddy light of her early books, the searching power and reflective richness of the later tempt us to linger and expatiate beyond our limits. But is it upon the heroines that we would cast a final glance. 'I have always been finding out my religion since I was a little girl,' says Dorothea Casaubon. 'I used to pray so much - now I hardly ever pray. I try not to have desires merely for myself...' She is speaking for them all. That is their problem. They cannot live without religion, and they start out on the search for one when they are little girls. Each has the deep feminine passion for goodness, which makes the place where she stands in aspiration and agony the heart of the book - still and cloistered like a place of worship, but that she no longer knows to whom to pray. In learning they seek their goal; in the ordinary tasks of womanhood; in the wider service of their kind. They do not find what they seek, and we cannot wonder. The ancient consciousness of woman, charged with suffering and sensibility, and for so many ages dumb, seems in them to have brimmed and overflowed and uttered a demand for something - they scarcely know what - for something that is perhaps incompatible with the facts of human existence. George Eliot had far too strong an intelligence to tamper with those facts, and too broad a humour to mitigate the truth because it was a stern one. Save for the supreme courage of their endeavour, the struggle ends, for her heroines, in tragedy, or in a compromise that is even more melancholy. But their story is the incomplete version of the story that is George Eliot herself. For her, too, the burden and the complexity of womanhood were not enough; she must reach beyond the sanctuary and pluck for herself the strange bright fruits of art and knowledge. Clasping them as few women have ever clasped them, she would not renounce her own inheritance - the difference of view, the difference of standard - nor accept an inappropriate reward. Thus we behold her, a memorable figure, inordinately praised and shrinking from her fame, despondent, reserved, shuddering back into the arms of love as if there alone were satisfaction and, it might be, justification, at the same time reaching out with 'a fastidious yet hungry ambition' for all that life could offer the free and inquiring mind and confronting her feminine aspirations with the real world of men. Triumphant was the issue for her, whatever it may have been for her creations, and as we recollect all that she dared and achieved, how with every obstacle against her - sex and health and convention - she sought more knowledge and more freedom till the body, weighted with its double burden, sank worn out, we must lay upon her grave whatever we have it in our power to bestow of laurel and rose.
23 mai 2022
HISTOIRE NATURELLE DE LA VIE ALLEMANDE
Le campagnard conventionnel de la scène, qui ramasse des portefeuilles et ne les regarde jamais, et qui est trop simple même pour savoir que l'honnêteté a son contraire, représente l'erreur encore persistante, qu'un dialecte inintelligible est une garantie pour l'ingénuité, et que les épaules affaissées indiquent une disposition droite. Il est tout à fait vrai qu'un batteur est susceptible d'être innocent de toute tricherie arithmétique adroite, mais il n'en est pas moins susceptible de rapporter chez lui le maïs de son maître dans ses chaussures et dans sa poche ; un faucheur n'a pas l'habitude d'écrire des lettres de mendicité, mais il est tout à fait capable de persuader la laitière de remplir sa petite bouteille de bière avec de la bière. Les instincts égoïstes ne sont pas maîtrisés par la vue des renoncules, et l'intégrité n'est pas le moins du monde établie par cette occupation rurale classique, le lavage des moutons.
Cette perversion n'en est pas moins fatale parce que la déformation qui y donne lieu a ce que l'artiste considère comme une fin morale. Ce que l'humanité doit savoir, ce n'est pas quels sont les motifs et les influences qui, selon le moraliste, doivent agir sur l'ouvrier ou l'artisan, mais quels sont les motifs et les influences qui agissent sur lui. Nous voulons apprendre à ressentir, non pour l'artisan héroïque ou le paysan sentimental, mais pour le paysan dans toute son apathie grossière, et l'artisan dans tout son égoïsme suspect.
Ce que nous désirons pour nous-mêmes a été en quelque sorte fait pour les Allemands par Riehl, l'auteur des très remarquables livres dont les titres sont placés en tête de cet article ; et nous souhaitons faire connaître ces livres à nos lecteurs, non seulement à cause de la matière intéressante qu'ils contiennent et des réflexions importantes qu'ils suggèrent, mais aussi comme modèle pour un étudiant futur ou actuel de notre propre peuple. Pour présenter Riehl à ceux qui ne connaissent pas ses écrits, nous donnerons un aperçu rapide de son tableau de la paysannerie allemande, et peut-être cette indication de la manière dont il traite une branche particulière de son sujet les préparera-t-elle à suivre avec plus d'intérêt lorsque nous entrons dans le but général et le contenu de ses œuvres.
La condition des métayers et des petits propriétaires en Allemagne est, nous l'imaginons, à peu près à la hauteur, non certes en prospérité matérielle, mais en culture et en mœurs mentales, de celle des fermiers anglais qu'on commençait à passer pour vieux. -façonné il y a près de cinquante ans, et si nous y ajoutons les domestiques et les ouvriers agricoles, nous aurons une classe se rapprochant dans ses caractéristiques du Bauernthum , ou paysannerie, décrite par Riehl.
Entre de nombreux villages, une querelle historique, autrefois peut-être l'occasion de beaucoup d'effusions de sang, est toujours entretenue sous la forme plus douce d'une ronde occasionnelle de coups de poing et du lancement de surnoms traditionnels. Une querelle historique de ce genre existe toujours, par exemple, entre de nombreux villages sur le Rhin et d'autres endroits à l'intérieur des terres dans le voisinage. Rheinschnacke(dont l'équivalent est peut-être "serpent d'eau") est le terme permanent d'ignominie pour l'habitant du village rhénan, qui le lui rend en nature par l'épithète "karst" (pioche), ou "kukuk" (coucou), selon que l'objet de sa haine héréditaire appartient au champ ou à la forêt. Si un Roméo parmi les «pioches» devait épouser une Juliette parmi les «serpents d'eau», il ne manquerait pas de Tybalts et de Mercutios pour porter le conflit des mots aux coups, bien qu'aucun des deux camps ne sache pourquoi l'inimitié.
Mais il ne faut pas croire que la piété historique du paysan allemand s'étende à tout ce qui ne se rapporte pas immédiatement à lui-même. Il a la piété la plus chaude envers la vieille maison délabrée que son grand-père a bâtie, et que rien ne l'incitera à améliorer, mais envers les vénérables ruines du vieux château qui domine son village, il n'a aucune piété du tout, et emporte son des pierres pour faire une clôture pour son jardin, ou abat la sculpture gothique de l'ancienne église monastique, qui n'est "rien pour lui", pour marquer un sentier à travers son champ. Il en est de même des traditions historiques. Le paysan les a tout frais dans sa mémoire, pour autant qu'ils se rapportent à lui-même. Dans les régions où la paysannerie est pure, vous pouvez discerner les restes des relations féodales dans d'innombrables coutumes et phrases, mais vous demanderez en vain des traditions historiques concernant l'empire, ou même concernant la maison princière particulière à laquelle le paysan est soumis. Il peut vous dire ce que signifie « la moitié d'un peuple et un peuple entier » ; en Hesse, vous entendrez encore parler de "quatre chevaux faisant un paysan entier", ou de "paysans de quatre jours et de trois jours" ; mais vous demanderez en vain Charlemagne et Frédéric Barberousse.
Peut-être le pire résultat de cette persistance irraisonnée est-il l'habitude invétérée du paysan de plaider. Tout le monde se souvient de la description immortelle de la demande importune de Dandle Dinmont à l'avocat Pleydell pour gérer son "petit procès", jusqu'à ce que finalement Pleydell consente à l'aider à se ruiner, au motif que Dandle pourrait tomber entre de pires mains. Il semble que ce soit une scène qui a de nombreux parallèles en Allemagne. Le procès du fermier est son point d'honneur ; et il l'exécutera, bien qu'il sache dès le premier jour qu'il n'en retirera rien. Le paysan litigieux se pique, comme M. Saddletree, sur sa connaissance de la loi, et cette vanité est la principale impulsion de bien des procès. A l'esprit du paysan, la loi se présente comme la « coutume du pays », et c'est sa fierté d'être versé dans toutes les coutumes. La coutume tient chez lui la place du sentiment , de la théorie , et dans bien des cas de l' affection . Riehl insiste justement sur l'importance de simplifier les procédures judiciaires, afin de couper cette vanité à sa source, et aussi d'encourager, par tous les moyens possibles, la pratique de l'arbitrage.
Le mariage est une affaire très prudente, surtout chez les paysans qui ont la plus grande part de propriété. Les mariages politiques sont aussi fréquents chez eux que chez les princes ; et quand une paysanne héritière de Westphalie se marie, son mari adopte son nom, et place le sien après lui avec le préfixe geborner ( née ). Les filles se marient jeunes, et la rapidité avec laquelle elles vieillissent et s'enlaidissent est une des nombreuses preuves que les premières années du mariage sont plus pleines d'épreuves que de tendresse conjugale. « Lorsque nos écrivains d'histoires de village », dit Riehl, « ont transféré leur propre vie émotionnelle au paysan, ils ont effacé ce qui est précisément sa caractéristique la plus prédominante, à savoir que, chez lui, la coutume générale tient la place du sentiment individuel.
Mais de nombreuses forces de désintégration ont agi sur le caractère paysan, et la dégénérescence se poursuit malheureusement à un rythme plus rapide que le développement. Dans les régions viticoles surtout, l'incapacité des petits propriétaires à supporter les vicissitudes du marché, ou à assurer une haute qualité du vin en courant les risques d'un millésime tardif et de la concurrence de la bière et du cidre avec les vins inférieurs, ont tendu à produire cette incertitude du gain qui, chez le paysan, est la cause inévitable de la démoralisation. Les petits propriétaires paysans ne sont pas une classe nouvelle en Allemagne, mais beaucoup des maux de leur situation sont nouveaux. Ils sont plus dépendants de l'argent liquide qu'autrefois ; ainsi, là où un paysan tirait son bois de construction et de chauffage de la forêt commune, il doit maintenant le payer avec de l'argent comptant ; il avait l'habitude de recouvrir sa propre maison de chaume, avec l'aide peut-être d'un voisin, mais maintenant il paie un homme pour le faire à sa place ; il payait les impôts en nature, il les paie maintenant en argent. Les chances du marché doivent être écartées et le paysan tombe entre les mains des usuriers. Voilà un des cas où la politique sociale se heurte à une politique purement économique.
Les vues très pratiques des paysans à l'égard des revendications du peuple contrastaient de manière amusante avec les théorisations abstraites des citadins instruits. Le paysan retenait continuellement tous les paiements de l'État jusqu'à ce qu'il ait vu comment les choses tourneraient et était disposé à compter le bénéfice solide, sous forme de terre ou d'argent, qui pourrait lui venir des changements obtenus. Alors que le citadin s'échauffait la cervelle sur la représentation au plus large, le paysan se demandait si la relation entre locataire et propriétaire continuerait comme avant, et si la suppression des « obligations féodales » signifiait que le fermier devenait propriétaire de la terre !
Dans les villages situés dans le voisinage des grandes villes, cependant, où les conditions de la paysannerie sont très différentes, une toute autre interprétation du communisme prévaut. Ici, le paysan est généralement relégué à la position du prolétaire vivant au jour le jour : il n'a rien à perdre, mais tout à gagner au « partage ». La nature grossière du paysan a été ici corrompue en bestialité par le trouble de ses instincts, alors qu'il est encore incapable de principes ; et c'est dans ce type de paysan dégénéré qu'on voit le pire exemple d'ignorance enivrée de théorie.
L'idée de gouvernement constitutionnel est tout à fait au-delà de la portée des conceptions du paysan allemand. Sa seule notion de représentation est celle d'une représentation de rangs — de classes ; sa seule notion de député est celle de celui qui prend soin, non du bien-être national, mais des intérêts de son propre ordre. C'est là que réside la grande erreur du parti démocratique, en commun avec les gouvernements bureaucratiques, d'avoir entièrement omis le caractère particulier du paysan de leurs calculs politiques. Ils parlaient du « peuple » et oubliaient que les paysans étaient inclus dans le terme. Seule une méprise sans fondement sur le caractère du paysan pouvait faire supposer qu'il éprouverait le moindre enthousiasme pour les principes de la reconstitution de l'Empire, voire pour la reconstitution elle-même. Il n'a pas de zèle pour une loi écrite en tant que telle, mais seulement dans la mesure où elle prend la forme d'une loi vivante, d'une tradition. C'est l'autorité extérieure que le parti révolutionnaire avait conquise à Bade qui a attiré les paysans dans une participation à la lutte.
« À l'étranger », dit Ruskin, « un bâtiment du huitième ou du dixième siècle est en ruine dans les rues ouvertes ; les enfants jouent autour,p. 166les paysans y entassaient leurs blés, les bâtisses d'hier s'y blottissaient, et mettaient leurs pierres neuves dans ses rentes, et tremblaient de sympathie comme elle tremblait. Personne ne s'en étonne, ou ne le considère comme séparé, et d'un autre temps ; nous sentons que le monde antique est une chose réelle ; et un avec le nouveau; l'antiquité n'est pas un rêve ; ce sont plutôt les enfants qui jouent autour des vieilles pierres qui font rêver. Mais tout est continu ; et les mots « de génération en génération » compréhensibles ici.
Les régions du nord et du sud ont encore une grande étendue de terrains vagues, de dunes, de marécages et de landes; et à ceux-ci s'ajoutent, au sud, une abondance de champs de neige et de rochers nus ; tandis qu'en Allemagne centrale, la culture s'est presque étendue sur la face du pays, et il n'y a pas de grandes étendues de déchets. On retrouve la même proportion dans la répartition des forêts. Au nord encore, nous voyons une continuité monotone de champs de blé, de terres à pommes de terre, de prairies et de vastes landes, et il y a la même uniformité de culture sur de grandes surfaces dans les plateaux du sud et les alpages. En Allemagne centrale, au contraire, il y a une variété perpétuelle de cultures dans un court espace ; la diversité des surfaces terrestres et la variété correspondante des espèces végétales invitent au morcellement des domaines,
« Car », observe Riehl, « le lien frappant qui a été souligné entre les formations géologiques locales en Allemagne et la disposition révolutionnaire du peuple a plus qu'une signification métaphorique. Là où les révolutions physiques primitives du globe ont été les plus folles dans leurs effets, et où les strates les plus multiformes se sont mélangées ou jetées les unes sur les autres, il est une conséquence très intelligible que sur une surface terrestre ainsi morcelée, la population devrait se développer plus tôt en petites communautés, et que la vie plus intense générée dans ces petites communautés devienne le nid le plus favorable à la réception de la culture moderne, et avec elle une susceptibilité à ses idées révolutionnaires ; tandis qu'un peuple établi dans une région où ses groupes sont répandus sur un grand espace s'obstinera beaucoup plus obstinément à conserver son caractère originel. Le peuple de l'Allemagne centrale n'a rien de cette unilatéralité exclusive qui détermine le génie particulier des grands groupes nationaux, tout comme cette unilatéralité ou uniformité manque au caractère géologique et géographique de leur pays.
Riehl considère, en premier lieu, la paysannerie et l'aristocratie comme les « Forces de persistance sociale », et, en second lieu, la bourgeoisie et le « quatrième état » comme les « Forces du mouvement social ».
« Ihr mögt mirimmer ungescheutGleich Blüchern Denkmal setzen !Von Franzosen hat er euch befreit,Ich von Philister-netzen.
Goethe ne pouvait guère prétendre être l'apôtre de l'esprit public ; mais il est éminemment l'homme qui nous aide à nous élever à un haut point d'observation, afin que nous puissions voir les choses dans leurs proportions relatives.
Les prolétaires intellectuels que Riehl appelle les « militants ecclésiastiques » du Quatrième État en Allemagne. Dans aucun autre pays ils ne sont si nombreux ; dans aucun autre pays le commerce du capital matériel et industriel n'est autant dépassé par le commerce de gros et de détail, le trafic et l'usure, dans le capital intellectuel de la nation. L'Allemagne produit plus de produits intellectuels qu'elle ne peut en utiliser et en payer .
"Cette surproduction, qui n'est pas passagère mais permanente, que dis-je, est en augmentation constante, témoigne d'un état maladif de lap. 177l'industrie, une application pervertie des pouvoirs industriels, et une satire beaucoup plus piquante de la condition nationale que toute la misère des ouvriers et des paysans. . . . Les autres nations n'ont pas à nous envier la prépondérance du prolétariat intellectuel sur les prolétaires du travail manuel. Car l'homme tombe plus facilement malade à force d'études qu'à cause du travail des mains ; et c'est précisément dans le prolétariat intellectuel que se trouvent les germes de maladie les plus dangereux. C'est le groupe dans lequel l'opposition entre gains et besoins, entre position sociale idéale et situation réelle, est la plus désespérément inconciliable.
Nous devons, à contrecœur, laisser nos lecteurs prendre connaissance par eux-mêmes des détails graphiques dont Riehl fait suivre cette affirmation générale ; mais avant de quitter ces admirables volumes, disons, de peur que nos inévitables omissions n'aient laissé place à une conclusion différente, que le conservatisme de Riehl n'est nullement teinté de partisanerie de classe, de fanatisme poétique pour le passé, ou de préjugé d'un esprit incapable de discerner la plus grande évolution des choses à laquelle toutes les formes sociales ne sont que provisoirement soumises. C'est le conservatisme d'un homme lucide, pratique, mais en même temps large d'esprit - un peu caustique, peut-être, de temps en temps dans ses épigrammes sur les doctrinaires démocrates qui ont leur remède à toutes les maladies politiques et sociales, et sur les théories communistes qu'il considère comme "le désespoir de l'individu dans sa propre virilité, réduit à un système", mais néanmoins capable et désireux de rendre justice aux éléments de fait et de raison dans toutes les nuances d'opinion et toutes les formes d'effort . Il est aussi loin que possible de la folie de supposer que le soleil reculera sur le cadran parce que nous reculons les aiguilles de notre horloge ; il lutte seulement contre la folie contraire de décréter qu'il sera midi alors qu'en fait le soleil touche à peine les sommets des montagnes, et tout le long de la vallée les hommes trébuchent dans le crépuscule. Il est aussi loin que possible de la folie de supposer que le soleil reculera sur le cadran parce que nous reculons les aiguilles de notre horloge ; il lutte seulement contre la folie contraire de décréter qu'il sera midi alors qu'en fait le soleil touche à peine les sommets des montagnes, et tout le long de la vallée les hommes trébuchent dans le crépuscule. Il est aussi loin que possible de la folie de supposer que le soleil reculera sur le cadran parce que nous reculons les aiguilles de notre horloge ; il lutte seulement contre la folie contraire de décréter qu'il sera midi alors qu'en fait le soleil touche à peine les sommets des montagnes, et tout le long de la vallée les hommes trébuchent dans le crépuscule.