13 déc. 2016

1002
Quelle chanson la devise
Seirens chanté .... pour meurtres
-----------------------------
+ Seir = sere
FUT!
-----------------------------
1003
voyant
1) = seer
La Voyante de la Providence
= Helen Whitman, la
aussi apparemment pas plus
pourrait !!
doué de la seconde face
1004
serein
~ Siren?
Seir
1005
ßier vous
pas
Seir
1006
Seir
Sirius
sirènes
1007
Byron 802, un
a Siria =
salope = étoiles
Mount Seir 'Sirius
Stephens?
1008
Isis = Neith
Osiris: pas de douleur!
+ Seir !?
Osiris
1009
la
Unis, nous Seir
-------------
F. avec
Augenzeir
officier
1010
Stephens Seir '
1). On ne passe pas à travers elle pour
jamais et jamais: rassurer Poe: quand même
la Bible avait profezeit-il que
Personne dans le Fut = montagne a =
devrait déployer .... !!
2) Je iv, 505 Ezéchiel: Ainsi, je ferai MS
plus detholate, et coupé de cela lui,
a passeth dehors et ne l'a returneth!
1011
cere ~ Seir
1) développer branler
sceau
2) Ceres = (xxx xxx)
céréales?
1012
Montagnes Saintes
ont toujours inter
resse
1013
Oh W; il était tout à fait
un homme bon. "
Poe
1014
le sens de la
examen sans fin
Stephens Saoudite
Petraea "est: vous
peut en toute confiance dans le trou = Pays
voyieren
1015
sere voyant .. ~ ~ Seir Seir
est remplaçable; voir.
Seir: poissons W II
1016
Futhaark =
Alvabett!
1017
Elixßier
1018
'Ch du peuple = fille
Je Fr.
1019
dessécher
1) le retrait = tige (armes de poing)
facilement excité, chatouilleux,
omis, débraillé
1020
sere sear ~
2) sear: a) déduction = tige (à portée de main =
armes à feu
b) «lumière (chatouillement) du
sear '= facilement excitable,
chatouilleuse, dissolue = dévergondée
3) voyant = le «voyant» (= voyeur!)
= Eye / seer
4) cere: la cire; envelopper dans cirée
5) les céréales = céréales?
1021
sere ~ ~ Seir Zaïre
1) Ulalume
2) Stephens Saoudite '+ Pym
3) Silence
---------
a) sere (feuilles) sec et aride fanées,
teints ~ Automne / roussis,
mutilé, ruiné, marque
1022
Seir ~ ~ sear sere
1.) sear: sec, aride, desséchée
brûler!
roussi
brûlée, séchée
mutilées, détruire, ruine
marque, abus
1023
Blackwood 467
also Que tendre
Zaïre ...
----------------
la tendre sere!
par conséquent, il aimait le mot
1024
Mont = Fut
Ser Schamberg
la montagne de Zündlochs
(+ Burnt)
1025
Stephens = un frottement?
Arabe. Petr.
1) peter = pénis
2) Seir: on peut aussi
pure?
1026
Mai "paix"
Fut! = Venez
p.95
1027
sere = sear
6) Seir ~ sere particulier
différent
7) zéro? null 0
8) sere = Fut (PI)
= sear
9) = trou sear + touchhole d'un
piss = Full
1028
pour 'FUT'
- Ou nous voulons signer
faire? Avec vos doigts
flick? Ou avec Schnalzlauten?
1029
Etyms subjective
avec We = Tous
sont affligés
1030
tonnelier
'Monikins'
1031
Fermé le
apparemment simple
(Le Tsalal = Final)
fable
1032
W honigsüß
HaßDu encore
plusieurs disques?
1033
Le übereinanderlie
mugissement
disques Cellophane =
--------------------
(A titre de comparaison) Pym
etc.
1034
Tsalal = couches
1) Irvings, 'Astoria'
2.) Fletcher, 'Purple Osland'
3) 'Arabie Pétrée' Stephens
4) l'hébreu
5) Cooper? 'Monikins' ??
1035
la
Rêve = Divorce
-------------------
V: a Tr = Scheider.
-------------------
Deuter comme «sources = Sch.)
1036
il est pour une large =
pays n'a presque pas
vous devez
créer: et je suis
la réprimande par le
Anglo-Saxons assez ge =
être tuellement
1037 recto
besoin urgent
est le raffinement
Texte d'observation
car il va sûrement essayer
d'écrire un bon livre
PTO
1037 verso
il est donc probable que la même
besoin de temps, il
lire presque exactement
- A propos d traducteur.
1038
philologue
un
Griel
bâillements est une autre
à:
Loir il n'a pas été
indéchiffrable
1039
(Le plagiat de Poe)
«Définir un voleur pour attraper
un voleur '
grommela W
1040
06/07/1836 Richmond
Poe demande Cooper
Messages f d. SLM
1041
Pym +
la
'Monikins'
Coopers
1042
"Be my
Tail sentiment Testing
attention
certainement "
1043
penser
Queue = test émotion
Merci!
(Cooper, «Monikins»)
I, 175
1044 recto
W secoué:
"Oh bißt D & uacute; commun
- Entschuldije Dän "!
lui demandai pénitent: «Je
dit nich gar 'bißDu' mais
"PTO 'Ißdas'
1044 verso
"Quand est le texte =
variation significative
mieux, Wilma? "
1045
Cooper a écrit Rezensi =
tion au sujet
explorations arctiques
(~ 1821),
1046
Lire Cooper!
probablement plus fructueux pour P.
être, comme vous le pensez!
1047
(: Hey): Gorstchwzyb!
=
(Cooper, Moni, II, II)
1048
I = auto ne me regardai
plus d'un
lit. Notes et singeries
Appareil d'engendrement
1049 recto
Je fais un Un =
reconnaissant Recognoszierungsabeit
pour
- Plus tard, inévitablement
à venir! - artistique
PTO
1049 verso
en utilisant la
etymaren
apparences
1050
euhemeristisch
déclaré
1051
à d. la combustion sud
d gouverné. Monde
Surtur, d Noir
1052
Cham
Fils de Noé 'Hamites'
sur Tsalal pourrait
Cham est sa descendance?
1053
Fr.
Elle hocha la tête me
indécente Bohémiene
ici
1054
dans un
bout de
absence morale
...
1055
Je vis comme
un Sket
v. ascétique
1056
Poecocke, Rich
Poe = cock
Ass = bip Hahn
-------------------
les voyageurs Orient
1057 recto
PTO
bum noisette Po
-----------------------
= Leatherstocking
1057 verso
bum noisette =
Ass-Nuts
1058 recto
Cooper? PTO
son Pathfinder
1) Natty Bumpoo
a) = noisette Amourous = forte
noix = testicules humains
écrou = gland
2) = brûler les dents postérieures
merde = coït, briser le vent, déféquer
merde = d arrière. navire = bureau
Pooh Pooh =: fusil, gros canon
1058 verso
"Nadd & uacute;: Eener, de son '
Heldn ouvertement
bum noisette = merde
appelé? - "
= noix oeufs
bum ass =
poo = = fusil coït
1059
quelques
Sunken Konso =
näntchen
Etyms
1060
trading Schleich
signification interdite =
tions
1061
la
Conquérants de South =
Pos
1062
«Step-large '
1063
"Impossible
moins de 50 000
être présents queues "
(Cooper, Monikin II, 8)
1064
"Homme, tu es ...."
(Ce petit mot «fou»
il pensait seulement)
ils
1065
quand
tonnelier
la
Onandanga
+ Onan ??
1066
Pol Pym
aussi pourquoi -
Pôle Sud - parce qu'il est
Sud = tige est.
1067
Monikins
juillet 35
1068
Jaj & agrave;. Mais =
d & eacute; ch.
1069
Foire: 2 femmes
"Où iss nn Votre
Votre quotidien? "
= mari
1070
B 6,25
"L'ouverture à travers laquelle
Flamme pénètre l'âme,
et la «charge» enflamme: est
le trou de contact appelé "
1071
Mme?
couvert de mauvaises herbes
1072
Cooper 'Monikins'
peut constamment v.
parler des queues?
Digression!
1073
Monikins
Cooper la queue se sentant plus
être attention Käptn
Noah Poek
Poke (!!)
est avec l'exclamation «roi»
beheftet = putain!
--------------------------
P1 = percez baise !! poker = pénis
1074
lui-même leur
bemädchigen
1075
la
Po = Source
S!
1076
Monikins
7) la vapeur = Air Pym: «vapeur»
8) le cannibalisme !!
1077
pas de bruit Dän
1078
1.) Monikin comporte une introduction: comme Pym
2.) 28 Summer ~ Summer 27
+ 28
3) les échantillons de parole
49 l'Wärmesee sur le cannibalisme!
pôle Sud
5) de «jalon»: un Monikins grèves,
(292) d. Avec la queue à S u N montre !!
1079
Pym
Tsalal
le même
Hyper = notes
Monikins
-----------------
pas ... Boräer
1080 recto
Moni = queues
a) II, 117 effrayés ...
me prit par d. la racine d. la queue,
parce qu'il n'y avait pas de boutonnières depuis
b) toujours interchangeables: les organes génitaux +
Queue coupée (II, 128)
c) III, 131 "au moment où il était très queue, maintenant
tout à fait souche Cooper était de 46! PTO
1080 verso
d) II, 134, il y a la «horizontale
+ = Le Perpendikulären 'où il reste
est, et où il se bloque.
e) "capital = queue nouvellement terminé"
II 134
f) II 137 être Sw. pour protéger contre
mites einzupfeffern
g)
1081
PanPoeïsmus
-----------
V:. Penpoist
Punpoïst?
1082 recto
id Cooper. Monikins »: utilisés
le mot «queue» dans le allerverdäch =
des moyens importants: a la I, 175
1) la queue émotion que vous test avec
2) montrer avec d. Tail
3) 50 000 Sw. Présent
4) 2 pouces de la queue coupée PTO
1082 verso
5) Avoir d. L'esprit dans la queue
6) maintenir la branche
7) II 55 la queue à 6 pouces
abzustümpfen (sic!)
8) Auguste de la Reine: "Wist
Mon, A., que les hommes ont des queues? "
donner (II 70)
9.) II 75 f: avec la queue d Accolade.
1083 recto
Cooper, Moni, «queue»: tours
10) II 96: il ne m'a demandé, son
Pour voir la queue
11) le temps que même une queue
portait (II 78)
12) l'Erzbisch unie (= oser) une paire,
"Les tournant avec son épiscopalienne
«La prise de force Tail
1083 verso
13) II 87: "Ma queue était au moins
3 '' que d plus courte. D. Messenger v. Springauf,
d. dans cette pièce importante sur
La plupart des bénéficiaires naturel vd Mi =
nistre "
14) II, 113: «les 12 portait Schweiffutterale"
---------------
a) ne pouvait pas rapidement
hog hérisson:
b) ce besoin de dames de Cooper se réjouirent
ha =
Ben: "Oh papa !!"
1084
Hervey Allen
873
l'image de la queue
1085
La projection de
propre personnalité
dans l'enfance:
du panier 'osier'
Pym, Phall
1086
en fonction sud = po = Licher,
le plus chaud
1087
Allégorie + Satire
de les Monikins 'a la Coopers
était alors la mode
Mardi de Melville!
1088
Monikins!
parfois un troisième
Party 'Tangentes'
le «toucher»
le 'toucher' !!
1089
+ ass
lire
1090
Je le fais, atten =
sam: que le
Monikins
comme allégorie en plus de la brillante =
satire politique forte, une forte
élément allégorique enhalten
1091
rompre
1092
la quatrième couche? au milieu
"Mais vous êtes toujours
pas mûres - "(déjà
Je l'ai vu 6 beteuernde, indigné,
plaidant mains
devant moi - en 1 un
spinelle invisible) - PTO
1092 verso
: "Est-ce qu'un
vieillissement solitaire
Les gens parce nich en paix
écoutez? -
pas à maturité avant
cet après-midi. "(salut)
1093
"Il est un secret."
"Donc, une raison de plus
de parler! "
1094
P = poudre maison
nez Lich -
timidement / W:
me prit par
Page: «SiehsDu comme
PTO
1094 verso
déjà
poudrage Nose!
------------
Fr. lui aide apitoyé
avec le gland.
1095
la
weißellbogige
X
1096
moi
"Cela vous coûtera ...?"
"1 de Halfpen"
-------------
(= Ha'penny
+ Demi rack!)
1097
Ah W:
am matin
pour vous à nouveau
I mais nich nouveau
plus là pour toi "
1098
Tekelili Pym
Peut-être effectivement
un chatouiller
voix
comme onanisme = Temptation
avec construit
1099
Fr. 'Foteln' Photo Fr.
voteln li enregistrements Ra
faire
J'ai commandé le Soleil
peindre son portrait! et
le Soleil a fait. (Avec 1/60)
1002. Tail
1100
'La Voyage des 24 heures'
Kératry, A. H.
Paris 1824
1101
il les prit avec
poignées gentleman
1102
et d'autres
'Legendary'
les parties du corps
K. = Partager
(Femisierung) corps
1103
chuchotement
1104
avec freinage
voix
1105
la
Cross = Rechercher
-----------
(Chamisso)
1106
il beardedness viril;
aussi
buste sur sa
le torse
1107
(Mais sans doute
Moiré déjà?)
(Tissu, «arrosé»)
Ciel de soie bleu)
1108
ceux-ci sont Dan
bon 10 km
-----------------
Il vient
10 bonnes - ou
moins
bon!
1109
I Comme,
Hodeget
... va
-----------------
off = exemple
Signpost, leader
1110
nous
laisse plus encore Feger dans
parc = aux Cerfs =
(N image f. Eb. Schl.!)
1111
béni
gai
tumulte
dans leurs âmes
var: mûrier sac
1112
un
lein?
tutu de
Tiretaine
Pi IV, 122, 'Belinge'
1113
tous les termes
association si hautement capable
lustfully
1114
Maimon re Ra
(Également «Jad Chazakha».
La «main forte» afin
pas 'nalga Lata'!
1115
Maimon, Moses Ben
Moreh Nerochim
= Docteur perplexorum
Les enseignants d. Perplexe
1116
Encore une fois tenir le fil
xxxxxxxx
xxxx xxxx
xxxx xxxx
xxxxxxxx
Mais cette fois-ci pour Fr. / son cas
la conduite de la main sur le dos
lieu - le caoutchouc élastique large
se sentir lié son soutien-gorge. PTO
1116 verso
"Oh - désolé,
Franziska
1117
Quelle est la
«Woman in White '
Neith
1118
«La suite
Madame, vous
question test,
Par ailleurs appelé Neith "
--------------------
(Nonchalamment!)
1119
Neujestät
(= Nouveauté + Majesté)
1120
cette question est encore
pas de temps à droite
1121
L'audience moyenne
résultats
passionné par son
ignorance
1122
artificiel
Beards
----------------
S'il vous plaît frapper la prochaine fois que je
moi 'n artificielle - vous aussi
PTO
1122 verso
Gephallen "
------------
"Just nich" Fr.
1123
(Jealousy de
Worm, ci-dessous)
ne dort jamais)
1124
Celui qui,
diable godlike
(Cooper) Dän
1125
Principe: Rechercher suivant! 'Flor'
Spout, voile, etc.
Matériaux transférés à l'air =
perspective u. Ä.!
Au loin, des bois très Mus'lin
1126
Tu mens = toi! - Venez = égale
10 fois:
"En tout juste ralenti
l'esprit du mal "
Kleinstsie couverte
Plis donnent l'Zeigefingerchen
tour avant aujourd'hui &
commencé
1127
10 he =
1) «Dans müßijer tout en créant d. L'esprit du Mal"
2) témoigne
3) busijer
-------------------------------
4) la laine
-----------------------------
5) En témoigne busijer Evil Genius laine Dän
6) Stylos
7) " 'Aufhör'n: Final" Elle se tut
1128
Le Narra =
bourdonnement lumineux
voix
introduire
1129
"Il est encore
parler. "
1130
P :)
abdominale!
abdominabel!
1131
un petit
häußlicher
ouragan
P & W
1132
Fr.) et a fait le
Jambes?
----------------------
obtenir plus mince
et pire
1133
Franzele
Fränzel
1134
Notre 'drapeau' nous volette vers l'avant:
nous avons soulevé le débat
Sticks (et rapportés dans, sûrement que
divers à désigner) Rich =
tions
1135
et confirmé par
un crissement
"Achoo!"
1136
note perfecte
Celsii
1137
Surmenage = triades
Peep = Metzigkeiten
Trilliaden
(V. Trilliarden?
1138
son
Avec = lièvre
(A la ... personnes)
Avec sa = voiture?
Livres?
1139
Caramba!
1140
pour enquêter
ver = duzt
verduzzt Fr. dit constamment
ferduzzt 'Vous'
1141
"Nuu? Mlle Hazel =
coeur? "
(A = Kreuzwegkompli
mENT)
1142
Mesurer = Liebchen
1143
Mlle dans ses Teens
1144
Fr.
studieux
befliß situé
1145
zutunlich
1146
Fr. regarde à travers verre double
(Ce que je réaffecté)
et en a profité
de bon cœur d'eux-mêmes pour me =
rejeter, à partir des épaules
pour délicate Popo - gémi aussi
Deux-face assez. "Fantastique!"
"Sweet -" (comme ils l'avaient prise de force
1146 verso
la contre-pression naissante
errankert)
1147
et juste
fearefull humblesse
vers lui, elle
est venu
Spenser
1148
ma
eau régale
t (les autres
En conséquence regia)
1149
le grand pâle violet doux
Acorn dans sa main
-----------------------
Il la regarda pensivement
perdu dans ses pensées ....
1150
(Il renifla)
«L'homme, vous est oui
pur Nes = Café
off! "
(Pee)
1151
Man, vous avez, mais
un
Fumet!
--------------------
Wildpret = odeur
1152
"Ceux damnés nouveau sous ="
pants (il rugissait nestelnd)
"= Pants! Avec la Trinité, e
expérience de fente 3 = pli sittigen: Pour
Mort on cherche! "
1153
PFUJ!
1154
"Immoral? un
beaucoup echauffiert
trop l'ouest
1155
((3ème couche encore
pas mûres))
-----------------
suivant
le quatrième est constitué de
Breccia - le livre Brocken,
qui est lu, le
ont eu lieu à lui pendant
1156
la plus belle
jambes v d hauts.
monde
Fr.
1157
Il est plus - au moins
avec le désormais familier aux agents
de philologie - être possible
à tous les éléments de commutation à l'intérieur
le crâne POE'schen nachvollzie =
procéder à saisir -
(Ff Pym III)
1158
poe .....
no = pompeuses finales
déclaration finale; mais
seulement la levée de
nouvelle couche de texte
Formations d'un
PTO
1158 verso
très compliqué &
tissu imperméable à l'eau
1159
Spenser, Reine, VI, 8, 35. -
1) déserts Wylde
2) saluage nation, qui a vécu
de la furtivité et spoile
3) mangerez la chair de l'homme
4) (qui) par errour, ou par wreckfull
Wynde
5) 40: huée = PTO hallowing
1160
Faerie Queene
car il plus fort
«Cunt» s
divisé est Cunt = oh! S
1161
la belle Lurette
fille joyeuse
Offenbach
Fr.
1162
Plaudertäschchen,
(= Mouth)
rouge bordée Fr.
1163
leurs mots
fermes, fixe et un =
oublieux
1164
très
un succès
Mélange de parole
et silence
1165
la
Monde = Hausmeyerin
faire: grenouilles plus déversoir
ascenseur, et sept points
déplacer, PTO
1165 verso
enregistrer les bourdons.
(L'homme a en effet
que récemment 'xxx est chaud'
mangé; sûr)
1166
Spec. IV, 81 et suiv. Pym
Tsalal?
Ruisseaux, l'eau
Red & Black?
1167
courageux
1168
Faisans = surabondance
1169
eh I '
mon année
Pound platine afin
ont ensemble
-----------------------
(~ Un revenu annuel)
1170
P
souffle énorme
1171
ami
«Je dois cause
moi encore
zusammenzu attention =
hold "(enfant = allusion
1172
Jurer à propos
Nascherinnen
Blackberry = snacking
des femmes sous =
raisonnablement // Yarrow
Collecter?
1173
Nature poète a la
Stifter, un
Melker selles An'n
vor'n
ass sanglé
1174
montre l'ignorance des Grecs
en témoigne le fait que
ils Sciences & Arts
saillir 9 femmes les
gauche - dans la connue
(Biologiquement déterminé) Culture Hostile =
accélérer une plus faibles créatures
erreur étrange.
1175
Fränzel seulement Mád =
'École disparu: en
Mixte est un bit
vie plus efficace, sublimés
moins; dans le plus pur: monde =
étrangère, mais plus sage + PTO
1175 verso
Musique et dramatique
1176
«l'âme» édité
chimères roundish
Ski = M & egrave; s
(Ski = Moravia ~ m & egrave; s)
plutôt que de tranchants
vérités
1177
faite de sa main
un Perlmutterkamm
& Striegel
& Combs Fr.
1178
languissant
vue
yeux
1179
l'épaule froide
show
Fr moi?
1180
voir plus =
avec
vide vilain
sourire
Fr. regarde W
1181
W
regardé spongieuse
à partir de
1182
Blasfemien,
hachurée sur
Lutter = plage
1183
I III, 447
Coin d. Âme
donc 'phrénologue'
en raison de phrenes =
diaphragme vient
1184
tout ad libitum
1185
Backfischfest langue
Fr. dans leur
1186
P W:
"Ordre! - vous
spünnst - "
+ = Spünne Piez
1187
beau ver
jour
(S)
1188
la
barbotage
1189
tordant sa queue
poewise! "
.... "Suite P.
1190
flirter
1191
La mince lente
Mouvement du flux
à côté de nous, et la
douce Gxxx d'aquavit
Aequawitz en nous
1192
Les tâches de garçonnes: à partir de
lire des livres minces; cyclisme;
Vernis à ongles, Vötzchen Freestyle =
graisse; casse coloré culte;
être-talk - "(aisselles
haussement): "must de digestion
ils écrivent aussi bien, la respiration et
forte locomotion. "
1193
(Vos rats d'eau)
Tous deux obtiennent le
Bath = Médaille
1194
vert? eu?
grauäugelnder
bleu
Zwinkerblick
(Zwinkherr?)
1195
W wampte
vampte?
---------
surpoids autour
1196
Rückert, «Wanderer»
am Bach: 400 u.
1197
"Pene porcine
di vino "
-----------
(S!)
1198
nymphes
jusqu'à 35 personnes l'âge
1000
1199
LS: «Petit arc»
Marweder façon / haute tension = Gittermast li.
de / Lutterbrückchen / Endeholz / recommander
Weiden - Champs / Bargfeld v W son /.
très simple!
1200
dévêtir
1) W
2.) Fr.

10 déc. 2016

Drei Tage,
und


meeting thomas bernhard



  



Drei Tage
5,6,7 juin 1970
von Ferry Radax

 

 

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A Translation of "Drei Tage" by Thomas Bernhard:

 

Three Days

Day No. 1

…my first impressions, on my way to register at the elementary school, on the very first day of first grade…my route took me past a butcher’s shop, and on its open doors there were hooks, hammers, knives hanging in rows, all very nicely organized, on the one hand bloody, on the other hand glaringly white and tidy, slaughtering-gun apparatuses…then the sound of the horses, as they quite suddenly slump to the ground, those enormous bellies that are swelling, collapsing, bones, pus, blood…then from the butcher’s a couple of flights of stairs up to the cemetery, a hall for lying in state, a tomb…I still cannot quite recall my first day of school, a pale youth in the hall for lying in state, a cheese-maker’ s son…and from there, my heart pounding, to the classroom…a young schoolmistress. 
My grandmother, who always took me with her, by the way—in the morning I would walk through the cemetery on my own, in the afternoon she would go with me into the charnel-houses—would lift me up, say: “Look there’s another woman laid out.”  People who were dead and nothing else…And this is of considerable significance for everybody…and one can draw conclusions about everything from it…
Childhood is just one piece of music after another, of course they’re all non-classical pieces.  For example: in 1944 in Traunstein I had a rather long walk to school.  My grandparents lived [just] outside the city limits, hence four kilometers from the school.  And halfway to the school [there was] a thicket, I don’t know what else.  And every time I walked past it, a woman would jump out and scream: “I’ll get your grandfather packed off to Dachau yet.”
In 1945 another story, another piece of music, perhaps a twelve-tone composition.  A friend of my brother, who was seven years old, I was fourteen, stuck his hand into the barrel of a bazooka, and he was completely blown to bits.  The place is called Vachendorf.  And I go with my brother to the funeral there on our bicycle.  And so I can just barely get my feet past the top tube, and he is sitting on top, in front on the handlebars.[1]  Along the way we pick flowers.  But halfway to the site of the funeral a young man suddenly jumps out of the woods, pulls my brother and me off the bike, tears up the flowers, and stomps the bike flat—in other words starting with the spokes, then he cuts the handlebars to pieces, then he ruins the mudguards, then he boxes my ears, then he throws my brother into the creek.  And it all struck me as so--I don’t know whether he was a Pole or a Czech…it was quite remarkable.  And we sat there on the bank of the creek and cried and went back on foot, and so there was no more talk about the funeral.  And then when we got home we told this remarkable story.  And there’s an entire series of stories just like it.
Two serviceable schools, naturally: loneliness, apartness, remoteness on the one hand, then continuous mistrust on the other, mistrust arising out of loneliness, apartness, remoteness.  And that was when I was still just a child…
My mother gave me away.  In Holland, in Rotterdam, I was shunted off into the care of a woman on a fishing-sloop for a year.  My mother visited me every three, four weeks.  I don’t believe she thought very much of me at the time.  Then of course the situation changed completely.  I was a year old, we moved toVienna, but there was still the mistrust, which by then had become permanent, when I met my grandfather, who actually loved me, just as I actually loved him.  Then those walks with him—this is all in my books, and those characters, male characters, each and every one of them is my maternal grandfather…but besides my grandfather each and every person was…you’re alone.  You can develop only when you’re alone, you always will be alone, your consciousness of the fact that you can’t come up with anything on your own…Everything else is a delusion, is dubious.  Nothing ever changes…
In your years of study, you are completely alone.  You have a bench-mate at school and are alone.  You talk to other people, you are alone.  You have opinions, other people’s opinions, your own opinions, you are always alone.  And when you write a book, or books if you are like me, you are even more alone. 
Making yourself understood is impossible, there’s no such thing as doing that.  Out of solitude, out of aloneness grows an even more intense aloneness, apartness.  Eventually you change scenes at ever-briefer intervals.  You believe that ever-larger cities—your small home town is no longer enough for you, Vienna is no longer enough, London is no longer enough.  You’re forced to go to another continent, you try going here and there, speaking foreign languages—is Brussels perchance the right place?  Is it perchance Rome?  And you travel to every place in the world and you are always alone with yourself and with your ever-more abominable work.  You go back to your native country, you withdraw back into your farmhouse, you shut the doors, if you are like me—and this is often for days at a time—you stay shut up indoors and then your sole pleasure and on the other hand your ever-increasing source of delight is your work.  Which is sentences, words, that you build up.  Basically it’s like a model train, you put one thing after another, it’s a musical procedure.  It’s of a predetermined height, sometimes it gets as high as four, five storeys—you build it up—you can see through the whole thing, and you throw it together like a child.  But all the time you’re thinking you’re not so bad at this after all, somewhere on your body a tumor is growing, a tumor that you recognize as a new job of work, as a new novel, and that keeps getting bigger and bigger.  So basically isn’t a book just a malignant tumor, a cancerous tumor?  You have it taken out in an operation, and you don’t quite realize that its metastases have spread throughout your body and that a cure is no longer possible.  And itnaturally keeps getting stronger and worse, and there’s no cure and no way of going back.
The people that came before me, my ancestors, were marvelous human beings.  It is certainly no accident that I’m suddenly thinking of them on this ice-cold bench.  They were everything at one time or another: filthy rich, dirt poor, criminals, monsters, almost all of them were perverse in some way, happy, well-traveled...
Most of them at some point suddenly up and killed themselves, and especially the ones who everyone had assumed would never dream of terminating their lives with a gunshot or a jump.  One of them jumped into a light-shaft, another one put a bullet in his head, a third simply drove his car into the river… And thinking back on all these people is as horrifying as it is pleasant.  It’s like when you’re sitting in a theater, and the curtain rises, and right away the people you see up on stage are divided into goodies and baddies—and not only into good and bad characters, but rather into good and bad actors.  And I have to say, it’s an absolute delight to watch this play from time to time, time after time.

Day No. 2

The difficult thing is getting started.  For a stupid person that isn’t difficult at all, indeed, he doesn’t even know what difficulty is.  He makes children or makes books, he makes one child, one book—child after child and book after book.  He’s quite indifferent to everything, indeed, he doesn’t even think about anything.  The stupid person doesn’t know what difficultly is, he gets up, washes, steps out into the street, gets run over, is squashed to a pulp, it’s all the same to him.  There are brute resistances right from the start, probably always have been.  Resistance, what is resistance?  Resistance is material.  The brain requires resistance.  While it’s accumulating resistances, it has material, resistance?  Resistances.  Resistance when you look out the window, resistance when you’ve got a letter to write—you don’t want any of this, youreceive a letter, again a resistance.  You chuck the whole thing into the trash, nevertheless you do eventually answer the letter.  You go out into the street, you buy something, you drink a beer, you find it all tedious, this is all a resistance.  You fall ill, you check into a hospital, things get difficult—again resistance.  Suddenly terminal illnesses crop up, vanish, stick to you—resistances, naturally.  You read books—resistances.  You don’t want to have anything to do with books, you don’t want have anything to do even with thoughts, you don’t want to have anything to do with language or words, or sentences, you don’t want to have anything to do with stories—you pretty much don’t want to have anything to do with anything.  Nevertheless, you go to sleep, you wake up.  The consequence of going to sleep is waking up, the consequence of waking up is getting up.  You must get up, stand up, take a stand against all resistances.  You must step out of your bedroom, the paper rises to the surface, sentences rise to the surface, really only the same sentences over and over…you have no idea where from…uniformity, right?  Out of which new resistances emerge, while you’re noticing all that.  You want nothing but to go to sleep, to know nothing more about it.  Then suddenly pleasure drops back in…

Why the darkness?  Why this ever-unchanging darkness in my books?  That’s easy to explain:
In my books everything is artificial, in other words, all the characters, events, occurrences, take place on a stage, as in a play, and the area around the stage is totally dark.  Characters entering on to a stage, into a stageplay, in a playhouse, are in virtue of their sharper outlines more distinctly recognizable than when they appear in natural lighting as they do in the prose we are most accustomed to.  In darkness everything becomes clear.  And so it’s not only like this with the images, with the pictorial element, but also with thelanguage.  You have to picture the pages of a book as being completely darkened.  The word lights up and from this illumination it receives its clarity or hyperclarity.  This is all stage machinery that I have been using from the beginning.  And when you open one of my texts, it’s like this: you should imagine that you’reat the theater, when you turn the first page you make the curtain rise, the title appears, total darkness—slowly from out of the background, out of the darkness, words emerge, words that slowly metamorphose into incidents involving a nature that is both internal and external, words that metamorphose into a nature of this sort with especial clarity precisely on account of their artificiality.

I don’t know what sort of person people picture a writer as, but any such picture is bound to be wrong…As far as I’m concerned I am not a writer, I am somebody who writes…on the other hand you receive these letters from Germany or wherever, from provincial towns, from fairly big cities or from broadcasters or certain collective enterprises…you show up there…and you’re presented as this tragic, downbeat poet, and that sticks so long that you are represented as such a person in critical plaudits, in pseudoscientific screeds.  Word then gets around that this is an author, a writer, who is to be classified as such and such, and his books are downbeat, his characters are downbeat, and his landscape is downbeat, and so—the person who’s sitting before us is also downbeat.  Plaudits like that pretty much reduce you to some downbeat clod in a black suit…Well, of course, I am considered a so-called serious writer, the way Béla Bartók is considered a serious composer, and my reputation is spreading…but basically it’s a really lousy reputation…it positivelydiscomfits me.  On the other hand, I naturally am not a light-hearted author, I’m no storyteller, I basically loathe stories.  I am a story-destroyer, I am the epitome of a story-destroyer.  In my work, whenever any sort of portent of a story appears, or I see any sort of suspicion of a story surfacing from behind a massif of prose, I shoot it down.  It’s the same way with sentences, I practically revel in nipping in the bud sentences that even possibly might come to term.  On the other hand…

I’m happiest when I’m alone.
Basically that is an ideal situation.
Even my house is really just a giant prison.
I quite like that; walls that are as blank as possible.  They’re blank and bleak.  It has quite a salutary effect on my work.  The books, or whatever it is I write, are like the house I live in.
Occasionally the individual chapters in a book strike me as being like the individual rooms in this house.  The walls are alive—right?  So—the pages are like walls, and that’s enough.  You have only to stare at them intensively.  When you’re staring at a white wall, you realize that it actually isn’t white, isn’t blank.  
When you’re alone for a long time, when you’ve gotten used to being alone, when you’re schooled in loneliness, you discover more and more things in all the places where for normal people there’s nothing.  On the wall you discover fissures, tiny cracks, irregularities, invasive insects.  There is a colossal amount of movement on the walls. 
In point of fact, there’s absolutely no difference between walls and the pages of a book.

People outside find my way of life monotonous.
Everyone around me lives a much more exciting, or if not exactly a more exciting, at least a more interesting life…
For me the life of my neighbors, who pursue very simple, manual vocations, is—my next-door neighbor is a farmer, catty-cornered to me lives a paper-maker, right next door to him a carpenter, farther afield in the neighborhood nothing but paper-makers, artisans, farmers—I find that interesting…as each of these strikes me as an occupation that, even if it’s being performed a hundred thousand times in exactly the same way each time, takes place as an event, is new each and every time… my own life, my own occupation, my own day, strike me as monotonous, unvarying, inconsequential.

The thing I find most terrifying is writing prose…it’s pretty much the most difficult thing for me…And the moment I realized this and became conscious of it, I swore to myself that from then on I would do nothing but write prose.  Of course I could have done something completely different.  I have studied many other disciplines, but none of them are terrifying.  For example, I took drawing lessons at a very young age, and I probably would have made a halfway decent draughtsman, it would have come quite easily to me.  I studied music, and it came quite easily to me, playing instruments, making music, in other words, composing.  There was a time when I thought I was destined to become a conductor.  I studied the aesthetics of music and one instrument after another, and because I found it all too easy, I gave it all up.  Then I wanted to become an actor or a director or a dramaturg.  That lasted for a while, and then I started finding it very constraining.  It was really stressful, I acted in a lot of plays, mainly in comic roles, put on some productions…I also attended a business school, which means there was a time when I thought, why not, I could just as easily become a businessman, I was attracted enough by the idea to start getting trained along that path…

And from quite an early age I—right on through to the age of seventeen, eighteen, I hated nothing as much as I did books…I lived at my grandfather’s house, and he wrote, and there was a huge library there, and to have to be around those books all the time, to have to walk through that library, was for me simply horrible…and probably…why actually did I ever start writing…why do I write books?  Out of a sudden opposition to myself, and to that situation—because for me resistances, as I said earlier, mean everything…I craved resistance on just such a colossal scale, and that is why I write prose…

Perhaps it’s because by the age of eighteen I was an inmate of a hospital, I had been laid up there, for a year, and there I received what I believe even today is still called extreme unction.  Then I was in a sanatorium, for several straight months I was laid up there in the mountains.  The whole time I had as my view the same mountain.  I was lying in a simple plank-bed, with a gray coverlet, with a single coarse woolen blanket, and outdoors throughout the autumn and the winter, day and night.  Out of sheer boredom, because you simply can’t lie there opposite a single mountain uninterruptedly—I mean, of course I wasn’t able to move about—I happened to start writing…That was probably the motive and the cause.  And out of this boredom and what with the solitude and that mountain, which is called the Heukareck, and towers over Schwarzach St. Veit, a real six-thousand footer…when for months on end you’re looking at it, and it’s always the same…it never changes, because it’s on the shady side, then you either go mad or you start to write.  And so I simply picked up a pen and some paper and just jotted down some notes for myself and overcame my hatred of books and writing and pencils and pens by writing, and that is undoubtedly the cause of all the vexation I’m dealing with now.

Basically I would like nothing more than to be left in peace.  This is very exacting, and with the passage of time I’ve ceased even to be interested in changes in the outside world.  Of course they’re always the same things over and over.  Other people will have to deal with them.  I am interested only in my own procedures, and I can be quite ruthless.  And it’s all the same, it makes no difference to me whether I’m in my farmhouse or in some city, be it Brussels or Vienna or Salzburg…whether everything is falling to pieces around me or getting even more ridiculous than it already is or not…I find all that pretty much meaningless, and it doesn’t get me anywhere I haven’t already been to, at the very least it gets me back to myself…and once I’m there…


Day No. 3

Yes…intercourse with philosophy, with written texts is extremely dangerous…for me especially…I sometimes beat about the bush for hours, days, weeks on end…I don’t want to have any contact with anyone…I don’t want to have anything to do with anything.
On the other hand, it happens that the authors I deem most important are my greatest adversaries or enemies.  You’re constantly sparring with the very people you’ve already surrendered to completely.  And I have surrendered to Musil, Pavese, Ezra Pound…there is of course nothing lyrical about them, they areabsolute prose.
There are quite simply sentences, a landscape, that is built up in a few words in Pavese’s diary, one of Lermontov’s rough drafts, naturally Dostoyevsky, Turgenev, basically all Russians…I’ve pretty much never taken any interest in any of the French, apart from Valéry…Valéry’s Monsieur Teste—that’s a book that’s been thoroughly thumbed through…and I’m always having to pick up a new copy, because it’s always going kaput on me, because it’s been read to death, to shreds.   
Henry James—I’m constantly sparring with him.  It’s a bitter foeship…and it’s always in flux.  Most of the time you think you cut quite a ridiculous figure alongside these people, but when you think that you can’t work…but little by little you gather your strength…you become stronger than the lot of them…and you can crush them…you can hoist yourself above Virginia Woolf or Forester, and then I have to write And on the whole comparison is the art that one must try to master.  It is the only school that has anything of any significance to teach and that gets you ahead or anywhere you’ve never been to.  Nothing integral can be suffered to exist, you’ve got to chop it to pieces.  Anything that’s been done well, that’s beautiful, grows more and more questionable.  Moreover of course you’ve got to break off at the most unexpected point possible along the way…So it’s even wrong to write a so-called chapter properly all the way to the end.  And the biggest mistake is when an author writes a book all the way to the end.  And in your relations with other people it is actually quite a good thing if you suddenly break off the connection.

Melancholy is quite a beautiful condition.  I fall into it quite easily and quite readily.  Not too often or pretty much never when I’m in the country, where I work, but right away in the city…For me there is no more beautiful place than Vienna and the melancholy that I feel in the city and have always felt…there are the people there whom I’ve known for two decades, and who are melancholy…there are the Viennese streets.  There’s the atmosphere of that city, the city of studies, quite naturally.  There are the ever-unchanging sentences that people there utter to me, probably the same ones that I utter to those people, a marvelous prerequisite for melancholy.  You sit anywhere in a park, for hours on end, in a café, for hours on end—melancholy.  There are the young writers of yesteryear, who are no longer young.  Suddenly you see one who is no longer a young person, he’s pretending to be a young person—probably just as I pretend to be a young person but am no longer a young person.  And it intensifies over time, but it becomes quite beautiful.
I quite enjoy going to the cemeteries in Vienna, to the Döbling cemetery right around the corner from me or to the cemetery at Neustift am Walde, and I really revel in the inscriptions, in the names I recognize from earlier visits.  Melancholy, when you walk into a shop: the same sales-girl, whose movements twenty years ago were so incredibly brisk, is now really slow.  She slowly fills the bag with sugar.  It’s with a completely different movement that she picks up the money, shuts the cash drawer…the bell on the door makes the same sound, but it’s melancholy.  And this condition can last for weeks.  And I think perhaps for me melancholy, this constant self-administration of melancholy in tablet form, is the ideal or the only effective medicine…

There is always the non-existent conversation with my brother, the non-existent conversation with my mother.  There’s the equally non-existent conversation with my father.  There’s the non-existent conversation with the past, which itself no longer exists, which will never exist again.  There’s the conversation with long, non-existent sentences.  There’s the dialogue with non-existent nature, intercourse with concepts that are non-concepts, that never could be concepts.  Intercourse with conceptlessness, cluelessness.  There’s intercourse with a subject-matter that is unremittingly imperfect.  The conversation with material that doesn’t answer back.  There’s the absolute soundlessness that ruins everything, theabsolute despair from which you can no longer extricate yourself.  There’s the imaginary prospect that you have built for yourself in order to be able to keep only imagining it.  There’s the attempt to brush up against objects that dissolve the moment you think you could have touched them.  There’s intercourse with actualities that turn out to be shams.  There’s the attempt to piece back   together a period of time that was never unified.  There’s always the same groping in your imagination towards a representation of things that by its very nature must prove false.  There’s your identification with things that have emerged out of sentences, and you know neither anything about sentences nor anything about things, and time and again you know pretty much nothing at all.   That is of course the quotidian element, from which you must distance yourself.  You have had to leave behind everything, not to shut the door behind you but slam it shut and walk away.  And everything time and again has had soundlessly to vanish from a single path and by its own agency.  You have had to go from the first darkness, that is, has ultimately become, totally impossible to master in a lifetime, into the other, the second, the conclusive darkness, and as far as possible, impetuously and, without any tergiversating, without any philosophical hair-splitting, to try to reach it, simply to enter it…and perchance by closing your eyes to anticipate the darkness, and to open your eyes again only then, when you have attained the certainty of being absolutely in the darkness, in the conclusive darkness.








[1] Many thanks to Flowerville for help with this sentence.



Source: Thomas Bernhard. Der Italiener (Frankfurt: Suhrkamp, 1989), pp. 78-90.   This book comprises Bernhard's screenplay to Der Italiener, a film directed by Ferry Radax; a fragment--also entitled Der Italiener--upon which the screenplay is based; the above texta modified transcript of a monologue delivered by Bernhard in an another film directed by Radax; and a brief afterword by Bernhard.  A complete translation of the book in PDF format is available here.

 Translation unauthorized but Copyright ©2013 by Douglas Robertson

4 déc. 2016

IVAN CHTCHEGLOV




Formulaire pour un urbanisme nouveau
 


Sire, je suis de l’autre pays.

 
NOUS NOUS ENNUYONS dans la ville, il n’y a plus de temple du soleil. Entre les jambes des passantes les dadaïstes auraient voulu trouver une clef à molette, et les surréalistes une coupe de cristal, c’est perdu. Nous savons lire sur les visages toutes les promesses, dernier état de la morphologie. La poésie des affiches a duré vingt ans. Nous nous ennuyons dans la ville, il faut se fatiguer salement pour découvrir encore des mystères sur les pancartes de la voie publique, dernier état de l’humour et de la poésie :

Bain-Douches des Patriarches
Machines à trancher les viandes
Zoo Notre-Dame
Pharmacie des Sports
Alimentation des Martyrs
Béton translucide
Scierie Main-d’or
Centre de récupération fonctionnelle
Ambulance Sainte-Anne
Cinquième avenue café
Rue des Volontaires Prolongée
Pension de famille dans le jardin
Hôtel des Étrangers
Rue Sauvage


Et la piscine de la rue des Fillettes. Et le commissariat de police de la rue du Rendez-vous. La clinique médico-chirurgicale et le bureau de placement gratuit du quai des Orfèvres. Les fleurs artificielles de la rue du Soleil. L’hôtel des Caves du Château, le bar de l’Océan et le café du Va et Vient. L’hôtel de l’Époque.

Et l’étrange statue du Docteur Philippe Pinel, bienfaiteur des aliénés, dans les derniers soirs de l’été. Explorer Paris.

Et toi oubliée, tes souvenirs ravagés par toutes les consternations de la mappemonde, échouée au Caves Rouges de Pali-Kao, sans musique et sans géographie, ne partant plus pour l’hacienda où les racines pensent à l’enfant et où le vin s’achève en fables de calendrier. Maintenant c’est joué. L’hacienda, tu ne la verras pas. Elle n’existe pas.

Il faut construire l’hacienda.

  
*
 
Toutes les villes sont géologiques et l’on ne peut faire trois pas sans rencontrer des fantômes, armés de tout le prestige de leurs légendes. Nous évoluons dans un paysage fermé dont les points de repère nous tirent sans cesse vers le passé. Certains angles mouvants, certaines perspectives fuyantes nous permettent d’entrevoir d’originales conceptions de l’espace, mais cette vision demeure fragmentaire. Il faut la chercher sur les lieux magiques des contes du folklore et des écrits surréalistes : châteaux, murs interminables, petits bars oubliés, caverne du mammouth, glace des casinos.

Ces images périmées conservent un petit pouvoir de catalyse, mais il est presque impossible de les employer dans un urbanisme symbolique sans les rajeunir, en les chargeant d’un sens nouveau. Notre mental hanté par de vieilles images-clefs est resté très en arrière des machines perfectionnées. Les diverses tentatives pour intégrer la science moderne dans de nouveaux mythes demeurent insuffisantes. Depuis, l’abstrait a envahi tous les arts, en particulier l’architecture d’aujourd’hui. Le fait plastique à l’état pur, sans anecdote mais inanimé, repose l’œil et le refroidit. Ailleurs se retrouvent d’autres beautés fragmentaires, et de plus en plus lointaine la terre des synthèses promises. Chacun hésite entre le passé vivant dans l’affectif et l’avenir mort dès à présent.

Nous ne prolongerons pas les civilisations mécaniques et l’architecture froide qui mènent à fin de course aux loisirs ennuyés.

Nous nous proposons d’inventer de nouveaux décors mouvants. (…)

L’obscurité recule devant l’éclairage et les saisons devant les salles climatisées : la nuit et l’été perdent leurs charmes, et l’aube disparaît. L’homme des villes pense s’éloigner de la réalité cosmique et ne rêve pas plus pour cela. La raison en est évidente : le rêve a son point de départ dans la réalité et se réalise en elle.

Le dernier état de la technique permet le contact permanent entre l’individu et la réalité cosmique, tout en supprimant ses désagréments. Le plafond de verre laisse voir les étoiles et la pluie. La maison mobile tourne avec le soleil. Ses murs à coulisses permettent à la végétation d’envahir la vie. Montée sur glissières, elle peut s’avancer le matin jusqu’à la mer, pour rentrer le soir dans la forêt.

L’architecture est le plus simple moyen d’articuler le temps et l’espace, de moduler la réalité, de faire rêver. Il ne s’agit pas seulement d’articulation et de modulation plastiques, expression d’une beauté passagère. Mais d’une modulation influentielle, qui s’inscrit dans la courbe éternelle des désirs humains et des progrès dans la réalisation de ces désirs.

L’architecture de demain sera donc un moyen de modifier les conceptions actuelles du temps et de l’espace. Elle sera un moyen de connaissance et un moyen d’agir.

Le complexe architectural sera modifiable. Son aspect changera en partie ou totalement suivant la volonté de ses habitants. (…)

Les collectivités passées offraient aux masses une vérité absolue et des exemples mythiques indiscutables. L’entrée de la notion de relativité dans l’esprit moderne permet de soupçonner le côté EXPÉRIMENTAL de la prochaine civilisation, encore que le mot ne me satisfasse pas. Disons plus souple, plus « amusé ». Sur les bases de cette civilisation mobile, l’architecture sera — au moins à ses débuts — un moyen d’expérimenter les mille façons de modifier la vie, en vue d’une synthèse qui ne peut être que légendaire.

Une maladie mentale a envahi la planète : la banalisation. Chacun est hypnotisé par la production et le confort — tout-à-l’égoût, ascenseur, salle de bains, machine à laver.

Cet état de fait qui a pris naissance dans une protestation contre la misère dépasse son but lointain — libération de l’homme des soucis matériels — pour devenir une image obsédante dans l’immédiat. Entre l’amour et le vide-ordure automatique la jeunesse de tous les pays a fait son choix et préfère le vide-ordure. Un revirement complet de l’esprit est devenu indispensable, par la mise en lumière de désirs oubliés et la création de désirs entièrement nouveaux. Et par une propagande intensive en faveur de ces désirs.

Nous avons déjà signalé le besoin de construire des situations comme un des désirs de base sur lesquels serait fondée la prochaine civilisation. Ce besoin de création absolue a toujours été étroitement mêlé au besoin de jouer avec l’architecture, le temps et l’espace. (…)

Un des plus remarquables précurseurs de l’architecture restera Chirico. Il s’est attaqué aux problèmes des absences et des présences à travers le temps et l’espace.

On sait qu’un objet, non remarqué consciemment lors d’une première visite, provoque par son absence au cours des visites suivanes, une impression indéfinissable : par un redressement dans le temps, l’absence de l’objet se fait présence sensible. Mieux : bien que restant généralement indéfinie, la qualité de l’impression varie pourtant suivant la nature de l’objet enlevé et l’importance que le visiteur lui accorde, pouvant aller de la joie sereine à l’épouvante (peu nous importe que dans ce cas précis le véhicule de l’état d’âme soit la mémoire. Je n’ai choisi cet exemple que pour sa commodité).

Dans la peinture de Chirico (période des Arcades) un espace vide crée un temps bien rempli. Il est aisé de se représenter l’avenir que nous réserverons à de pareils architectes, et quelles seront leurs influences sur les foules. Nous ne pouvons aujourd’hui que mépriser un siècle qui relègue de pareilles maquettes dans de prétendus musées.

Cette vision nouvelle du temps et de l’espace qui sera la base théorique des constructions à venir, n’est pas au point et ne le sera jamais entièrement avant d’expérimenter les comportements dans des villes réservées à cet effet, où seraient réunis systématiquement, outre les établissements indispensables à un minimum de confort et de sécurité, des bâtiments chargés d’un grand pouvoir évocateur et influentiel, des édifices symboliques figurant les désirs, les forces, les événements passés, présents et à venir. Un élargissement rationnel des anciens systèmes religieux, des vieux contes et surtout de la psychanalyse au bénéfice de l’architecture se fait plus urgent chaque jour, à mesure que disparaissent les raisons de se passionner.

En quelque sorte chacun habitera sa « cathédrale » personnelle. Il y aura des pièces qui feront rêver mieux que des drogues, et des maisons où l’on ne pourra qu’aimer. D’autres attireront invinciblement les voyageurs…

On peut comparer ce projet aux jardins chinois et japonais en trompe-l’œil — à la différence que ces jardins ne sont pas faits pour y vivre entièrement — ou au labyrinthe ridicule du Jardin des Plantes à l’entrée duquel on peut lire, comble de la bêtise, Ariane en chômage : Les jeux sont interdits dans le labyrinthe.

Cette ville pourrait être envisagée sous la forme d’une réunion arbitraire de châteaux, grottes, lacs, etc… Ce serait le stade baroque de l’urbanisme considéré comme un moyen de connaissance. Mais déjà cette phase théorique est dépassée. Nous savons que l’on peut construire un immeuble moderne dans lequel on ne reconnaîtrait en rien un château médiéval, mais qui garderait et multiplierait le pouvoir poétique du Château (par la conservation d’un strict minimum de lignes, la transposition de certaines autres, l’emplacement des ouvertures, la situation topographique, etc.).

Les quartiers de cette ville pourraient correspondre aux divers sentiments catalogués que l’on rencontre par hasard dans la vie courante.

Quartier Bizarre — Quartier Heureux, plus particulièrement réservé à l’habitation — Quartier Noble et Tragique (pour les enfants sages) — Quartier Historique (musées, écoles) — Quartier Utile (hôpital, magasins d’outillage) — Quartier Sinistre, etc… Et un Astrolaire qui grouperait les espèces végétales selon les relations qu’elles attestent avec le rythme stellaire, jardin planétaire comparable à celui que l’astronome Thomas se propose de faire établir à Vienne au lieu dit Laaer Berg. Indispensable pour donner aux habitants une conscience du cosmique. Peut-être aussi un Quartier de la Mort, non pour y mourir mais pour y vivre en paix, et ici je pense au Mexique et à un principe de cruauté dans l’innocence qui me devient chaque jour plus cher.

Le Quartier Sinistre, par exemple, remplacerait avantageusement ces trous, bouches des enfers, que bien des peuples possédaient jadis dans leur capitale : ils symbolisaient les puissances maléfiques de la vie. Le Quartier Sinistre n’aurait nul besoin de recéler des dangers réels, tels que pièges, oubliettes, ou mines. Il serait d’approche compliquée, affreusement décoré (sifflets stridents, cloches d’alarmes, sirènes périodiques à cadence irrégulière, sculptures monstrueuses, mobiles mécaniques à moteurs, dits Auto-Mobiles) et peu éclairé la nuit, autant que violemment éclairé le jour par un emploi abusif du phénomène de réverbération. Au centre, la « Place du Mobile Épouvantable ». La saturation du marché par un produit provoque la baisse de ce produit : l’enfant et l’adulte apprendraient par l’exploration du quartier sinistre à ne plus craindre les manifestations angoissantes de la vie, mais à s’en amuser.

L’activité principale des habitants sera la DÉRIVE CONTINUE. Le changement de paysage d’heure en heure sera responsable du dépaysement complet. (…)

Plus tard, lors de l’inévitable usure des gestes, cette dérive quittera en partie le domaine du vécu pour celui de la représentation. (…)

L’objection économique ne résiste pas au premier coup d’œil. On sait que plus un lieu est réservé à la liberté de jeu, plus il influe sur le comportement et plus sa force d’attraction est grande. Le prestige immense de Monaco, de Las Vegas, en est la preuve. Et Reno, caricature de l’union libre. Pourtant il ne s’agit que de simples jeux d’argent. Cette première ville expérimentale vivrait largement sur un tourisme toléré et contrôlé. Les prochaines activités et productions d’avant-garde s’y concentreraient d’elles-mêmes. En quelques années elle deviendrait la capitale intellectuelle du monde, et serait partout reconnue comme telle.

GILLES IVAIN
 

L’Internationale lettriste avait adopté en octobre 1953 ce rapport de Gilles Ivain sur l’urbanisme, qui constitua un élément décisif de la nouvelle orientation prise alors par l’avant-garde expérimentale. Le présent texte a été établi à partir de deux états successifs du manuscrit, comportant de légères différences de formulation, conservés dans les archives de l’I.L., puis devenus les pièces numéro 103 et numéro 108 des Archives Situationnistes.

13 nov. 2016